TISSEMSILT

Le commun des citoyens habitant la cité des 126 logements à proximité de l'école El-Djazair et ceux dont les enfants sont scolarisés au niveau du dit établissement ne cessent de s'interroger d'une part sur la coupure d'eau potable et sur le retard constaté sur les travaux de la route qui sont restés sans une réelle prise en charge depuis plus de deux semaines.En effet, ce retard contribue à défigurer la route qui est devenue impraticable par la présence de grosses pierres, notamment, à l'entrée de cet établissement scolaire d'une part, et d'autre part sur le silence observé jusque-là quant à une simple opération de branchement au réseau de l'eau potable et une simple opération de raccommodage au niveau de ces fuites, avant l'entame de la pose du bitume. Ce qui a fait naitre le sentiment que les secteurs de la distribution de l'eau potable et des travaux publics à Tissemsilt précisément au niveau de ce quartier, ne seraient vraiment pas à cheval. Quant au raccommodage et à la réparation de ces déperditions qui s'éternisent et à la qualité des travaux de la route qui semblent se faire dans la précipitation, cette situation a pourtant été dénoncée pour une éventuelle intervention mais force est de constater ce silence. Ce retard fait désormais partie des discussions des habitants de cette partie de la ville et si les quartiers peuvent supporter encore plus le retard dans l'intervention, les élèves de l'école El Djazair, les deux logements de fonction et les locaux du centre d'orientation scolaire et professionnelle COSP ne le pourront pas, c'est la santé et l'hygiène de nos enfants qui est en danger et personne ne pourra trouver des justifications pour minimiser de la gravité de cette situation. En effet, à constater ces dysfonctionnements qui font l'objet de nombreuses controverses, l'on se questionne sur le premier responsable de la wilaya qui est au courant de cette fâcheuse situation qui il n'y a pas longtemps a fait sortir plus d'un de son silence pour la dénoncer à travers les interpellations téléphoniques et même auprès des responsables des chantiers.