TISSEMSILT

Aussi étrange que cela puisse paraître, le squat de l'espace d'autrui et la transformation d'un logement d'astreinte de fonction à un bien privé causant de grands préjudices sans que cela incite les responsables à agir pour au moins imposer les valeurs de l'équité et le respect des lois parait un acte condamnable et un dépassement intolérable.En effet, le cas du jour est vérifiable au niveau des quatre logements se trouvant au sein de l'école Zouaoui Amar à Boukaid à l'extrême nord de Tissemsilt où l'occupant de l'un des deux logements du rez-de-chaussée n'a trouvé aucune gène en procédant à la destruction du mur de l'enceinte sur une longueur de près de vingt mètres pour construire une bâtisse avec quatre fenêtres vue sur la cour de l'école et un garage alors que le reste de la superficie a été planté. Cette même personne qui visiblement jouissait d'une certaine complaisance s'est permis la destruction d'une partie des escaliers du bloc, la déviation de la conduite de l'assainissement et enfin couper l'accès à la mosquée et à l'école, tout cela s'est fait au su et au vu de toutes les parties concernées. Les plaignants nous ont affirmé documents à l'appui qu'ils ont saisi le directeur de l'établissement, la mairie, la daïra et enfin la wilaya sans qu'aucune partie ne daigne intervenir ou du moins leur rependre ce qui a fait naitre en eux un sentiment de Hogra et du non-respect du bon voisinage, sinon comment expliquer que cette personne squatte une superficie se trouvant à l'intérieur d'un établissement scolaire et fait comme bon lui semble sans qu'elle soit inquiétée ' Où était le directeur de l'établissement tout ce temps là ' Une situation qui invite les responsables concernés à intervenir en urgence pour mettre fin à une telle gabegie.