Ils ont poussé comme des champignons, aux quatre coins de la ville. Ce sont des petits commerces de pain dit «syrien» dont les Tiaretis semblent raffoler malgré son prix exorbitant. En effet, le pain syrien à l'apparence, certes, appétissante, est cédé pour la modique somme de vingt dinars, ce qui est «trop cher pour Khaled qui nous dit avoir déjà beaucoup de mal à acheter la baguette à 8,50 voire 9 dinars», souligne-t-il. Au centre-ville, sur le long boulevard menant aux quartiers sud de la ville et même dans le loin quartier de «Oued Tolba», vous pouvez trouver du pain syrien, s'époumone Djilali pour qui, il a autant de commerces de pain «made in» que de kiosques multiservices. Comme quoi le pain-maison «matloue» ou encore celui que l'on appelle ici «pain volcan» sont sérieusement menacés par «la mondialisation», ironise Djillali qui a, quand même, fini par glisser un pain syrien dans son panier en forme gibecière.
BONJOUR S'il possible je besoin des documentation sur le pain syrien . S.V.P je travaille sur cet sujet dans ma mémoire
zahra sahli - etudiente - saida, Algérie
30/11/2010 - 8779
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Posté Le : 09/02/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : El-Houari Dilmi
Source : www.lequotidien-oran.com