Algérie

Tiaret en bref



 Préfabriqué : des équipes mixtes pour le recensementPlusieurs centaines de logements construits en préfabriqué depuis le séisme de 1980 à Tiaret font l'objet, ces derniers temps, d'un recensement de la part des services techniques habilités. Certaines habitations similaires, à l'exemple des 84 logements de l'ex-base de vie, situés à proximité de l'oued qui traverse la ville dans sa partie sud-ouest sont aussi concernées. A ces derniers, incrustés dans un quartier anonyme portant la mention « cité VRD » qui servaient de base de vie réalisés par les Allemands pour le compte de l'ENF (ex-SN.Métal) s'ajoutent d'autres habitations similaires à la cité Volani (Mohamed Djehlène) à Tiaret, Sougueur, Chellala et d'autres localités. Au total, les préfabriqués seraient au nombre de 2000 et la possibilité de leur destruction est d'actualité depuis que la loi de finances 2006 amendée avait intégré, sur proposition d'un groupe de députés, les wilayas de Tiaret et Tissemsilt. D'une durée de vie limitée, ces baraques contiendraient, à en croire des citoyens, de plus en plus nombreux à réclamer leur destruction, de l'amiante, dont les fibres sont cancérigènes. Labours/semailles : 828 crédits accordés par la BADRDepuis la levée des contraintes liées aux dettes détenues par la CASNOS envers les fellahs, les procédures d'enlèvement des semences et même les crédits consentis par la BADR-banque se sont accentués. Une satisfaction relative semble régner et a fait dire au directeur de cette banque que, jusqu'au 31 décembre 2008, « 828 agriculteurs ont bénéficié du crédit de campagne RFIG pour un montant total de 199 millions de dinars ». Cinq ans de prison pour le faux procureurLe tribunal correctionnel a condamné, en fin de semaine, celui qui prétendait être le procureur de la République de Laghouat. Une usurpation de fonction qui l'avait conduit à user de subterfuges pour rouler ses victimes. Une personne âgée et son fils résidant à Sidi Bel Abbès, qui ont cru aux pouvoirs illimités et aux accointances de ce faux cadre, avaient en effet avancé beaucoup d'argent (plus de onze millions de dinars) à l'escroc qui se permettait le luxe de s'introduire chez certains directeurs d'entreprises en leur présence pour mieux les rouler. Après avoir nié durant l'interrogatoire, le mis en cause a finalement craqué pour reconnaître les faits. Le verdict a été d'ailleurs à l'égal du réquisitoire du représentant du ministère public qui argua de la gravité de la situation.


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