Certains riverains, parents et élèves de l'école primaire Mokhtari Ghlamallah, implantée à la cité «Ettefah», vivent un vrai calvaire depuis qu'une fabrique de marbre ne cesse de polluer l'environnement par la dense poussière qui s'y dégage non sans indisposer la santé des citoyens.Un atelier qui a ouvert ses portes on ne sait trop comment dans un quartier résidentiel alors que la ville de Tiaret dispose de zones d'activités et même d'une zone industrielle. Une situation qui s'apparente à une négligence de la part des pouvoirs publics qui laissent proliférer ce genre de commerce en zone urbaine.Les citoyens directement concernés n'ont cessé d'attirer l'attention des élus sur la question sans que cela n'émeuve quelqu'un pour l'heure. Plus au sud, au niveau de la cité Belhadj Hachemi (ex- Volani), c'est carrément un hangar appartenant à un organisme étatique qui a été bradé par l'ex- wali pour être cédé en location à un privé, au milieu des bâtiments pour la production de panneaux publicitaires. Une activité qui génère dans son sillage l'emploi de peintures nonobstant les bruits et les désagréments causés à ceux qui résident sur les lieux.
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Posté Le : 20/04/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Fawzi Amellal
Source : www.elwatan.com