*
L'État est un
produit sociétal dont les acteurs influents participent davantage tels que le
politique, l'économique, le religieux, le militaire, le technicien... pour défendre
ses intérêts majeurs. Mais toute société est amenée à trouver l'équilibre
politique en termes de stabilité et d'ordre par rapport à ce que propose la
société civile.
L'État en Prusse
est le niveau le plus élevé de l'intelligence dit Hegel sans que la société
puisse s'organiser en dehors de lui ou devenir son ennemi.
A mesure de
devenir à la fois un rempart contre les ennemis de l'extérieur et un défenseur
de ses citoyens que la politique aurait changé de cap depuis en Occident. Elle
est devenue suite à son évolution d'attaquer à d'autres problèmes qui sont
d'ailleurs liés à l'économie, à l'environnement, à la matière, à la technique,
à l'espace et au nucléaire... C'est pourquoi l'un des ses chantiers tentent de
proposer des solutions adéquates pour résoudre ce que l'homme a inventé afin de
s'adapter au cours des événements ainsi que leur retombées dans le temps. Avant
que la politique le soit, dit Hobess, le philosophe
anglais du XVIII e siècle, l'homme est un loup pour l'homme. Mais
tout État fort est celui qui vit en parallèle équilibre avec la société ; d'où
il tire sa légitimité. Ce même État s'est tellement développé que le marché
veuille prendre sa place en terme économique notamment le capitalisme. Malgré
la sortie triomphale de celui-ci sur le communisme, ce dernier s'est affaibli.
La crise économique et financière que vit l'Amérique et l'Europe s'explique par
le fait que l'économie est tellement plus avancée qu'elle pose des problèmes
monétaire, technique et financier.
L'évolution du capitalisme
montre de telle sorte que le politique veille à ce que la société puisse être
ouverte et démocratique. La modernité politique est issue du
développement politique des institutions représentatives et des structures
sociales. Contrairement à l'Occident, le monde arabe n'a pas su se débarrasser
de ses modes tribaux et sociologiquement conservateurs. L'histoire et la
sociologie relèvent du poids des morts et des aptitudes des vivants, tandis que
le droit et l'économie traitent un état avancé de pacification de la société.
S'il y a révolution aujourd'hui dans le monde arabe, c'est parce que le
politique n'est pas efficace et encore moins rationnel pour savoir le lien
organique entre État et société. Force est d'abdiquer que la politique soit une
arme à double tranchant : surmonter les crises internes en évitant les guerres
et négocier avec l'extérieur du sort du pays. Plus la politique est moderne,
plus on est loin de la violence. Celle-ci devient un moyen d'expression quand
les voies de communication sont absentes ou contrôlées.
La philosophie
politique incarne bien ce processus dont Socrate, Platon et Aristote ont fondé
le sens de l'État-Cité.
Cela relève non
pas de la volonté de la pensée politique en tant que telle, mais dont se réfère
l'Occident aujourd'hui. Il n'en demeure pas moins que le sens politique donné
est de sensibiliser l'homme afin qu'il se soumette à l'ordre établi. L'État ne
peut pas être en dehors du jeu social sinon il devient moins politique. C'est
une avancée significative que l'État se développe par rapport à la société afin
que l'un complète l'autre. Ce n'est que par le biais donc de la démocratie que
le pouvoir politique s'enrichit de techniques et de positionnement:'' […] bref
les passions sont bridées par les intérêts, et les conduites agressives sont
adoucies par les discours grâce au débat politique. Quand elle réussi, cette
alchimie est justement due à « la politique». Quand elle échoue, les intérêts
eux-mêmes deviennent de dangereuses passions (l'avidité ou la haine par exemple)
qui font obstacle à la conversion des émottions en raison'' (1).
Il s'agit de
dépasser tout ce qui met en cause le pouvoir face aux traitements des affaires
de la société. Le dialogue politique est très important par le fait qu'il
puisse faire réussir la mission de n'importe quel État qu'il soit. Celui-ci
agit sur le plan d'action en fonction de qu'il lui avance les élites et les
élus. Ceux-ci n'envisagent pas d'ordre quel qu'il soit s'ils ne prennent pas au
sérieux ce que désirent les masses populaires. Le contrat social est
fondamental pour éviter à l'ensemble des vivants un sort tragique.
Quoi qu'il en soit, l'État demeure le moteur
de la politique malgré les diverses menaces qui pèsent sur lui. Le changement
de la donne nationale, régionale et internationale a fait que l'État-providence n'arrive pas à absorber ce que l'économique
aurait crée face aux besoins constants de l'homme. Le social a fait accélérer
le processus de l'État sans qu'il parvenir néanmoins à l'adaptation des choix
politiques, économiques et technologiques. La géopolitique du développement a
pu exacerber les nécessités économiques et accélérer les découvertes
technologiques.
Si l'État est une
idée (2), c'est parce que tout regroupement humain ne puisse vivre en dehors de
lui. De même, l'homme ne peut être soumis à autrui qu'à travers l'État. Lequel
est considéré comme étant une entité abstraite par la manière dont les
institutions sont gérées tout en parlant de son nom; ceux-ci n'agissent que par
le nom de l'autorité donnée par cet État. Mais si chaque décision prise renvoie
aux décideurs politiques; d'où qu'ils viennent, est-ce porteuses de solutions
légales et justes? La rationalité politique se pose au niveau de l'efficacité.
D'ailleurs, pourquoi il y a tant d'États? Ceux-ci réagissent souvent en politiques publiques, mais rare en confrontation militaire
avec d'autres États.
Alors que Francis
Fukuyama qualifie l'État comme: «institution humaine très ancienne, dont
l'apparition remonte à quelques dix mille ans au sein des premières sociétés
agricoles disséminées en Mésopotamie, en Chine un État doté d'une bureaucratie
hautement formée a existé pendant des millénaires. En Europe, l'État-moderne-possédant des grandes armées, le pouvoir de
lever des impôts et une bureaucratie centralisée capable d'imposer son autorité
souveraine sur un vaste territoire»(3). Cela s'avère
vrai quand le pouvoir d'État s'engage à éliminer les dégâts et faire en sorte
de construction qualitative. Si pourquoi la politique moderne malgré qu'elle
tire de son passé riche un tel renseignement, c'est parce qu'elle s'adapte
suivant des intérêts jugés opportuns pour faire fonctionner l'appareil de
l'État autrement. L'essor de l'Europe ne date pas d'aujourd'hui, car il remonte
à quatre ou cinq siècle en arrière. La « révolution
politique » qu'a menée Machiavel, Bodain, Hegel, Marx
et Montesquieu etc., s'inscrit dans cette perspective. Classer l'État à un
niveau plus élevé, cela ne fait que durcir la position de la société:«L'essor
de ces États-avec leur capacité à faire respecter
l'ordre, la sécurité, la loi et les droits de propriété - est ce qui a rendu
possible l'essor du monde économique moderne. L'objectif de la politique
moderne a été de maîtriser le pouvoir de l'État, d'orienter ses activités vers
des fins considérées comme légitimes par les peuples qu'il sert et de
réglementer l'exercice du pouvoir sous le contrôle de la loi » (4).
La politique
elle-même contient du va et vient s'agissant ses intérêts qualifiés
stratégiquement juteux. La politique tire son essence de la philosophie-travail
de la raison et son produit par excellence - Mais jusqu'à quand l'État exerce
t-il la politique? Comment la politique tend à influencer l'État? Politique
d'État ou d'état politique?
DE LA POLITIQUE...
De ce fait,
l'État est une conception formée donc par l'histoire, la civilisation et la
sociologie. Mais chaque pays compte en avoir un. L'État repose sur des formes
diverses et variées. La terminologie se diffère d'un concept à un autre.
L'État est une
institution suprême ou un pouvoir collégial. La politique sage est réputée
philosophique (philosophie politique). Quant à la science politique, elle ne
peut faire la distinction facilement entre «pouvoir», «puissance» et « peuple».
Aussi, on peut le constater entre «policy», «polity» and «politie».
Le langage en politique se varie par rapport à la domination de la conception
de la science donnant souvent la gestion des affaires publiques.
Mais chaque
société humaine ne peut être gérée que par le biais du politique. La politique
devient une science à part entière quand l'état des sciences «molles» ou
«dures» évoluent auprès de la communauté scientifique.
La politique devient un acquis quand elle recherche la construction et la
critique par les politistes ou juristes eux-mêmes.
La politique peut
devenir objective si elle est considérée à la base comme un moyen de
communication de l'État, de dialogue social et d'ouverture d'esprit sur les
choses et le monde. On peut procéder à la non politique par la politique si
celle-ci n'est pas mûre.
L'ÉTAT «COMME
FORME»
L'État
caractérise en effet le sens commun qu'un groupe en possède pour agir contre
les effets pervers que dégage la société humaine dans son ensemble. La collectivité humaine ne peut vivre loin de
ce que son bien-être soit menacé. Le pouvoir met le sens de vivre en commun sa
devise première. La forme de l'État c'est telle qui arrive à maîtriser à
travers les gouvernants (institutions, groupes de pression et moyen d'agir) en
terme de puissance, le besoin de limiter les désirs personnels et réaliser les
objectifs d'ensemble. Autrement dit, un pouvoir fort (strenght) c'est celui qui écarte à l'ensemble le risque de
la faiblesse. Autrement dit, c'est faire reculer la violence qu'elle quelle
soit notamment celle de la
Nature ou celle des circonstances. En dissociant la force de
la violence, l'État peut s'inscrire dans une portée réellement politique : «Le
domaine d'application de cette notion de force devrait donc être, en toute
rigueur, celui des sciences de la nature, ou en tout cas, relever d'une
application physicaliste de cette notion à quelque réalité quantifiable que ce
soit (5)».
Etre loin de la
violence intérieure, c'est réaliser la force extérieure dans le temps et dans
l'espace. La notion de la violence est liée à la conception de l'homme face à
soi et aux autres.
Ce lien doit être
maîtrisé de façon à ce que l'entretien soit positif. A partir de là se
constitue la notion de l'autorité qui se respecte par la loi et se fait
respecter par le citoyen. De même, chaque autorité a besoin de légitimité
qu'elle recourt au passé, mais la réalisation d'un tel objectif se fait dans le
futur. Ce faisant, l'État devient par conséquent une organisation et non pas un
organe. Mais tout se joue par la décision disait Éric Weil dans son fameux
livre la philosophie politique. De là s'inscrit effectivement le poids de
chaque État par le fait qu'il ne recourt guère à la violence mais au dialogue,
sachant que son emploi est légitime. L'État de droit met en cause la violence
mais il légifère des lois lui portant garant. La rationalité de l'État veut éliminer la
violence et crée l'espace dans lequel cette autorité soit respectée. La
souveraineté de la loi tente d'influencer la communauté afin d'y recourir à la Justice. Mais ce
n'est que par le biais de la nature de la forme que se définit la conception de
la force.
L'ÉTAT «COMME
FORCE»
Si tous les États
sont nés de la violence, c'est parce que celle-ci est en question et, qui
définit par voie de conséquence, sa finalité afin d'aider la ‘'communauté
historique'' à faire son histoire. La construction intérieure semble acharnée
par tout le monde comme tout le monde est concerné quant à l'invasion
étrangère. L'État par sa nature qu'il essaie de posséder la force sans laquelle
n'est pas considéré comme État disait Max Weber. Il est vrai que la violence
existe partout et toujours, mais l'État est là pour s'en servir modérément. La
culture politique liée au territoire tend à définir enfin l'idéologie de
l'État.
Très
concrètement, le projet politique met en cause la violence qui est d'ailleurs
synonyme de désordre flagrant empêchant toute avancée significative. Sur le
plan social, le terme de l'égalité résume la sauvegarde de l'autorité. Ce lien
homogène vise à créer la stabilité de l'État. Au-delà de la violence exercée
par ceux qui parlent en ce nom ou ceux qui en critiquent de son extérieur,
n'est qu'une mécanique portant la culture politique dominant les rapports
sociaux.
C'est ce qu'ils
ont en terme d'État sur le pouvoir régissant son appareil. Un État fort et
puissant c'est celui qui sort non seulement de cette ambivalence ambiguë mais
de la contradiction interne des structures politiques.
Un État fort est
celui qui se met en garde pour réaliser ou activer une grande variété entre
gouvernance, capacité et qualité. Tout se joue en termes institutionnels sur
l'efficacité effective. La rationalité politique accentue le développement que
porte l'État. L'étatisme devient le socle de l'action politique en libérant le
jeu économique. Cela renvoie en effet à la capacité administrative dont la
décentralisation ou le fédéralisme gèrent ainsi aussi bien rationnellement que
tactiquement la région. Nouveaux pouvoirs politiques qui réglementent
le système entier. De là s'inscrit la marche historique de chaque État sachant
que la société ne peut vivre loin de celui-ci comme celle-ci ne peut être
gouvernée que par cette dernière : c'est pourquoi l'État se construit par et
pour la société. Son rôle est de lutter contre l'anarchie, mais son moyen c'est
le vote contre l'abstention : « […] la nouvelle Science politique accordera
plus d'importance aux changements sociaux imperceptibles aux figures de la micropolitique qu'aux événements massifs qui bouleversent
le monde»(6).
L'ÉTAT COMME
ACTEUR DANS L'ECONOMIE
Le développement
institutionnel est important non pas par ce qu'il fait face aux besoins
d'urgence, mais il les encadre davantage afin d'en trouver les meilleures
solutions. Parlons des problèmes que pose l'administration en ce qui concerne
la relance économique. Par exemple, pour procéder à l'ouverture d'une
quelconque une entreprise qui soit, il a été constaté qu'il il y avait une
grande différence entre un pays développé par rapport à un pays sous-développé
pour acquérir la richesse et faire participer au développement à travers les
impôts. Au Pérou, l'obtention d'une licence peut durer plus de dix mois. Par
contre, aux États-Unis, celle-ci peut être obtenue seulement en deux jours.
C'est ce qui faciliterait l'ouverture de l'économie sans qu'un gouvernement
soit contre. Cela lui alimente les caisses publiques en épargnant plus pour
financer d'autres projets. L'économie fait fonctionner la politique quand
elle est productrice. Au-delà de la nature, il y a la richesse que l'homme se
met au sérieux à chaque étape en vue d'assurer son bien-être. Élargir l'espace
de l'économie ne peut que grandir les chances du politique. Les ressources
naturelles sont si peu si on ne prend pas en considération le rôle de l'homme.
La technologie nouvelle a été crée par ce dernier pour trouver d'autres
richesses. La place de l'économie est typique si la politique arrive à se
marier avec elle. Le temps idéologique incarne bien ce tournant décisif face à
la technique. L'idéologie dominante c'est elle qui arrive à mobiliser ses
troupes pour aller de mieux en mieux.
Plus la justice
sociale existe, plus on est loin du désordre. Il y a une approche morale et
intellectuelle face aux affaires de la société. Cette alignée est l'Å“uvre même
de la société. C'est un consensus sociétal que l'imaginaire socio-politique
aurait crée pour élargir l'espace de vue et entretenir les meilleurs moyens
possibles.
Par peur de
perdre l'équilibre à cause de l'exploitation qui devient incontrôlable que
l'économie ne tourne pas fond malgré l'investissement le plus cher qui s'y
accompagné. Une exploitation de la terre à l'espace, et du sous-sol à la mer
n'a pas arrangé les choses. Cet accès qu'a connue
l'économie suite à la domination du commerce, on le voit très rigide en termes
de travail et de l'emploi, ce qui n'a prospéré ni le pouvoir d'achat des
classes moyennes ni épargné la faillite de certaines banques. Tout cela résume
bien entendu dans la défaillance que vit le capitalisme ayant de sérieux défis
structurels. Est-ce le résultat de l'économie-monde
ou la fin d'une époque historique? Le retour de l'État-providence
(étatisme) en Occident face aux appels de secours contre le marché
(capitalisme). Cette approche limitée ne résume t-elle pas son retour en
arrière après avoir retardé le public et le privé à la fois. Et peut-être là
que se résume le sens de l'histoire d'une grande partie du monde. De la
révolution industrielle à la lutte ouvrière que les États européens auraient
été développé. Mais l'économie est derrière cette métamorphose qui a enclenché
cette dynamique en améliorant le sort de la politique: celle-ci aurait su
éviter la guerre pour passer à un autre stade qui est celui de l'économie.
Celle-ci vise
l'intérêt dont l'homme peut réaliser en faisant la guerre contre la nature,
voire contre l'ennemi étranger. Cette mutation significative du soi à autrui ;
de la guerre à la paix est le socle de l'État. Loin de la paix, il y a le
développement en face sinon la guerre qui prend le dessus, mais au service de
l'intérêt public. L'homme quel qu'il soit est en lutte sans cesse pour son
bien-être.
Pour réaliser ses
intérêts propres, il faut recourir à la force. Certains ont qualifié l'intérêt
comme étant une force sans laquelle cet intérêt ne pourrait être préservé. Car
entre les États, il n'y a que l'intérêt qui semble en jeu par la politique
étrangère. Souvent, le caractère de la force est lié entre les pouvoirs publics
et les masses populaires. Même si elle introduit l'usage de la violence
matérielle; la force politique est là pour montrer le visage de l'État. Elle
porte en effet une dimension politique que l'État en recourt à savoir sa
finalité. Mais la force politique est souvent interprétée comme étant un
mélange de l'économie, de la morale et de la psychologie ... en fonction du
contexte ainsi que ses enjeux. La force politique englobe un système donné
(construction structurelle et démonstration définitive). L'État ne peut se
cacher derrière ses objectifs en utilisant la force, voire la violence.
Certains spécialistes parlent de l'incorporation de la violence légitime en
politique en vue de constituer la personnalité de l'État. Ainsi l'usage de la
violence par l'État ne peut perdure si longtemps et, que le monde ne peut en
aucun cas y supporter. Cela introduirait le terrorisme entre les États. Elle
est une étape secondaire pour que le monde puisse en dépasser. Il est certain
que la réalisation de ses objectifs, l'État recourt derrière la violence pour
se montrer qu'il serait puissant. La force a des limites. Et le droit est là
pour sauvegarder le sens de la puissance. Celle-ci peut obtenir ce que la force
n'en donne pas. Or, la violence existe en famille, à l'école et dans
l'entreprise, à savoir l'homme. Celui-ci constitue la pièce maîtresse de l'État
et que chacun parmi nous porte en lui une telle signification due à son
emprise. Et tout État ne peut vivre loin ou contre les États. Leur interaction
est vue soit par le militaire soit par le diplomate ou tous les deux ensemble.
Le droit international intervient pour gérer à
bien leur bien-être. C'est ce qui renvoie plutôt aux législations, aux mÅ“urs et
aux traditions culturelles. Le visage que dégage chaque État c'est bien ce que
lui alimente la société. Souvent, l'économie écarte la violence de l'État, ou
du moins maitrisée. Toute économie notamment produite
tente d'éviter à ce que l'État arrive à ses fins en dehors des relations
limitées mais plutôt à la recherche ouverte des ressources énergétiques ou
solaires.
*Chercheur
universitaire
NOTE :
1. Yves Schemeil. Introduction à la science politique.
Presse de la
science po et Dalloz. 2010.p.82
2. G.Burdeau , article
«l'État», in encyclopaedia Universalis.
Paris, 1976, vol ;6, p. 582
3. Francis Fukyama. State building. Gouvernance et ordre du monde au
XXI e siècle, La Table
ronde.2004.p.17
4. Francis Fukyuma. op.cit.,p.18
5. Philippe Fantaine. L'État. Paris, Ellipses. 2010.pp.167-168
6. Madeleine Grawitz Jean Luca . Traité de science politique.
Paris,
PUF.t1.1985. p.113
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Posté Le : 12/01/2012
Posté par : sofiane
Ecrit par : H Miloud Ameur
Source : www.lequotidien-oran.com