Un «Café littéraire» de la vertu et de la métaphore bientôt au programme
Le «Café littéraire» du Théâtre régional de Sidi Bel-Abbès revient pour clôturer une fin d’année sous le signe «d’Alger, capitale arabe de la culture». L’équipe chargée du programme se base sur le credo que «le poète est l’ombre gardienne de la patrie et c’est par son chant qu’il honore les héros de la Guerre d’indépendance. Cela coïncide également avec les propos qui expriment les plus profonds sentiments sincères qu’on soit rimeur, musicien, écrivain dans le 4ème art ou créateur dans les arts plastiques. Ainsi est prévu un florilège de poètes en l’occurrence Arbi Kada, le poète de la passion vertueuse, Abed Manseur, le poète de la métaphore, Zaky Zeddour, l’auteur compositeur des romances aigres- douces, de Maité Mohamed, la fulgurance des 17ans et des autres...
Les historiens autodidactes seront présents avec entre autres, Karim Ould N’bia, Larbaoui Mohamed, professeur de philosophie, Kessair Abdelmalek, homme de lettres, Drâ Nory, Hamdad Sid Ahmed, tous deux des artistes peintres, le rappeur de la mélodie des fleurs Filofenomen Chawki.
On peut dire que le «Café littéraire» du Théâtre régional de Sidi Bel-Abbès répond à une exigence supplémentaire pour offrir à un large public, un espace de mots de cœur souvent, lapidaires mais immensément humains, des mots qui réprouvent le mal, qui célèbrent la beauté, l’amour et des pensées nobles.
Pour cela la soirée ne vaut par cette vertu que par la qualité de ses métaphores et de la réalité de ces hommes et de ces femmes qui viendront contribuer par leur art au façonnement d’une société qui a payé de sa chair pour être libre et prospère. Cela se passera dans deux semaines.
Ahmed Mehaoudi
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Posté Le : 10/12/2007
Posté par : sofiane
Source : www.voix-oranie.com