Cette situation les contraigne à interpeller les pouvoirs publics pour un tant soit peu d’amélioration de leur cadre de vie. «Nous souffrons surtout de l’absence de moyens de transport et d’infrastructures sanitaires pour le village», déplore un habitant, signalant que le réseau routier reliant Thalahlou aux autres localités de la commune connaît un délabrement intolérable.
Pour se rendre en effet vers d’autres localités voisines ou même au chef-lieu communal, le voyageur potentiel est obligé de louer des fraudeurs du transport (dits «clandestins») au prix de 200 à 400 DA la course pour une distance de plus ou moins une dizaine de kilomètres en aller-retour. Aussi pour ce genre de déplacement, les villageois de Thalahlou, qui souhaitent impatiemment de recevoir quelque projet de développement à même de les délivrer de leur enclavement, recourent souvent aux bicyclettes, aux motocyclettes, voire aux… tracteurs agricoles.
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Posté Le : 18/09/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : M .Guergaoui
Source : www.elwatan.com