Pauline Roland fut déportée en Algérie, à la suite de sa condamnation pour avoir participé 'de coeur' aux Journées de décembre 1851. Elle arriva à Alger en juillet 1852 pour être ensuite envoyée dans 'un trou' où elle ne pouvait sévir... Sétif. Le roman raconte, sous la forme d'un journal (imaginaire) les deux mois (de début août au 8 octobre) que Pauline passa à Sétif, à travailler comme femme de ménage dans la seule auberge de la ville.
Posté Le : 26/11/2007
Posté par : hichem
Source : www.evene.fr