Aujourd'hui 13 mars le ministre de l'Urbanisme de l'architecture et de la ville se rend à Djelfa. C'est une visite de travail et d'inspection. C'est aussi une visite festive car il va remettre des clefs pour une partie des bénéficiaires des 4258 logements toutes formes confondues.Il y a parmi ces logements ceux qui ont été finis et livrés depuis plus de 18 mois. Ce n'est qu'à partir du moment ou il y a eu le dégèle des enveloppes financières pour les ECOLES CEM ET LYCEES. Concernant les aménagements ce fut la croix et la bannière. Les attributions se font par césarienne. C'est pour dire que ce qui est imposé à Djelfa de mauvais car jusqu'à maintenant il n'y a eu de gèle que pour les établissements scolaires de Djelfa. Il y a heureusement une prise de conscience et le rattrapage depuis l'avènement d'Ouyahia. Il ne faut pas non plus être ingrat car la wilaya de Djelfa n'a connu son essor qu'avec notre président de la République depuis 1998. Le parc immobilier du logement social géré par l'OPGI et autres est passé de 16 000 à 120 000 logements. Ceci grâce aux autorités locales les walis Mohamed el Kabîr Addou Ahmed Hamou Touhami et à un degrés moindre avec les difficultés Abdelkader Djellaoui et El Hadj Saad Agoudjil. Les entrepreneurs en bâtiment djelfaouis sont militants en sus de la performance. D'ailleurs les records établis par deux entreprises de construction en bâtiment ne sont toujours pas égalés même par les chinois. Ils ont atteint la barre des 400 logements en moins d'une année soit un logement en moins d'un jour. Il faut les nommer avec honneur ils sont : el Hadj Ameur Djouaf et el hadj Smaïl el Heddi. Les cabinets d'architecture efficaces et artistiques. Ils font l'honneur de la wilaya de Djelfa. Les ouvriers sont hautement qualifiés. Ils sont les auteurs des finitions meilleures que celles des LPP d'ailleurs. L'architecte ministre Temmar Abdelhamid aura à apprécier la qualité des travaux et signatures de nos réalisateurs. Il remarquera qu'il y a des choses qui manquent notamment les centres des grands pôles urbains et les percées vers l'ancienne ville. Il est conscient de certaines tares et des manques à gagner. Notamment la mauvaise répartition des plans de charge entre cabinets d'architecture. En ce qui concerne la commande privée. C'est difficile certes mais c'est possible car en Algérie quatorze mille architectes sont inscrits au tableau de l'ordre. Dix mille autres ne le sont pas. Ne serait- il pas judicieux de mettre en branle ou en chantier pour légiférer, bien sûre, avec l'APN le projet de loi organisant l'étude, le suivi et le constat de conformité pour la commande privée comme c'est le cas actuellement pour le secteur public. Au théâtre régional de Djelfa sera rassemblée une partie de la population qui va recevoir des mains du ministre porte bonheur les clefs du bonheur qu'est le logement. Il y a des nouveaux pôles qui doivent être classés en tant que ville nouvelle ou nouvelle ville dans tous les cas de figure elles doivent avoir un centre-ville ou centre de regroupement. Donnera -t-il instruction ou conseillera-t-il à ce que les villes et villages commencent par désigner le point zéro de l'agglomération ' espérons le car ce sont les premiers pas vers la citadinité qui se feront désormais.
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Posté Le : 15/03/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Djilali Harfouche
Source : www.lnr-dz.com