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 InjonctionLa Maison-Blanche a affirmé, hier, qu'il serait « irresponsable » de prendre une décision sur des renforts en Afghanistan tant qu'il n'y aurait pas de « gouvernement crédible » à la tête du pays, où les résultats finaux de la présidentielle contestée n'ont toujours pas été publiés. « La question pour nous et pour le président (Barack Obama) est de savoir s'il y a un gouvernement crédible et un processus (électoral) légitime », a expliqué le secrétaire général de la Maison-Blanche, Rahm Emanuel, interrogé hier matin sur CNN.Selon M. Emanuel, bras droit et homme de confiance du président Obama, quel que soit le chemin emprunté, deuxième tour ou accord entre MM. Karzaï et Abdullah, « en fin de compte, il faudra que cela débouche sur un gouvernement légitime et crédible pour les Afghans ». SatisfactionLe gouvernement syrien s'est félicité, hier, de l'adoption par le Conseil des droits de l'homme (CDH) de l'ONU à Genève de la résolution sur le rapport de la mission d'enquête internationale dirigée par Richard Goldstone relatif aux crimes de guerre israéliens à Ghaza. « La Syrie accueille avec satisfaction l'adoption de la résolution par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU », a déclaré dans un communiqué le ministère syrien des Affaires étrangères. Le chef de la diplomatie syrienne a en outre chargé les 5 membres du Conseil de sécurité ayant voté non. « Ces pays, dont la politique de deux poids, deux mesures concernant la question des droits de l'homme, n'ont plus de crédibilité », a-t-il déclaré.  >