Algérie

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Le calvaire des habitants de la cité AADL
Les 500 habitants de la cité AADL, à Tébessa, ne savent plus à quel saint se vouer. Oui, ils ont obligés de payer les charges mensuelles comprises entre 2500 DA à 3000 DA pour des commodités presque « inexistantes». Plusieurs doléances ont été adressées aux services concernés depuis 2010 mais n'ont trouvé jusque-là aucun écho. Bien que la cité ait été réceptionnée, en 2008, les travaux d'entretien et d'aménagement, vous pouvez repasser ! Des ascenseurs, constamment en panne, tardent d'être réparés ; les femmes de ménage ne font pas régulièrement leur travail ; la sécurité, notamment la nuit, fait défaut, etc.
Auparavant les habitants de cette cité ont soulevé une série de problèmes dans une lettre adressée à l'agence dénonçant que plusieurs clauses dans la cahier des charges n'ont pas été respectées, à titre d'exemple, la construction de ces appartements n'a pas été faite selon les normes, surtout au niveau des pièces, des étages, des cuisines, des salles de bain, des portes, des fenêtres, le réseau du gaz, celui de l'électricité et de l'eau, sans parler de l'absence totale des isolants entre les appartements. Les entrées de immeubles ne sont pas achevées. Cependant la seule préoccupation pour ces habitants reste l'alimentation en eau potable. En effet, ces 500 logements sont alimentés depuis des citernes métalliques posées sur le toit des immeubles, exposées au soleil et aux intempéries, avec tout ce que cela comporte comme danger pour la santé publique. «Mon enfant a eu des problèmes à l'estomac à cause de cette eau impropre», nous a dit un habitant. A ce propos, maintes réclamations adressées aux services concernés, sont restées lettre morte. Les habitants sont obligés de s'approvisionner en eau minérale, ce qui n'est pas évident, et ce, bien qu'ils s'acquittent régulièrement de la facture d'eau.

Saisie de plus de 27 kg du kif traité
Plus de 27 kg du kif traité ont été saisis, avant-hier, par éléments de la police relevant du service régional de lutte contre le trafic de stupéfiants à Annaba, apprend-on de source sûre. En effet, agissant sur renseignements, les éléments de la police sont parvenus à tendre une sourcière à un homme, la trentaine, originaire d'Alger, et ont pu intercepter en plein centre-ville de Tébessa son véhicule à bord duquel se trouvait la quantité de drogue, sans doute destinée à être acheminée vers la frontière. Le mis en cause a été placé sous mandat de dépôt, a ajouté notre source.


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