Face aux nombreux défis tant politiques, culturels, sociaux, économiques que géostratégiques dans un monde turbulent et instable, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a été élu contrairement à certaines supputations dans une transparence unique dans les annales de l'Algérie depuis l'indépendance politique, tous les présidents ayant été désignés après une mise scène, malgré le faible taux de participation et certains dépassements mineurs. Il a une lourde responsabilité de rétablir la confiance brisée Etat-citoyens, à la fois politique afin de rassembler toutes les forces politiques et sociales dans leur diversité et surtout de résoudre la très grave crise économique qui secoue le pays avec le risque de cessation de paiement courant 2022, supposant un dialogue sans exclusive.Nous devons, face à la crise multidimensionnelle, apprendre à nous écouter par la culture de la tolérance. L'Algérie ne sera jamais plus comme avant : une Algérie avant le 22 février 2019 et une Algérie après le 22 février. Tous les candidats ont promis de se mettre au diapason des revendications raisonnables du Hirak en procédant à de profonds changements dans la gouvernance. Privilégions uniquement les intérêts supérieurs de l'Algérie car l'immense majorité des Algériennes et Algériens n'ont pas d'autre patrie de rechange. Car l'Algérie sera ce que les Algériennes et les Algériens voudront qu'elle soit.
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Posté Le : 24/12/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Maghreb
Source : www.lemaghrebdz.com