Algérie

Tebboune accélère la cadence



Les consultations politiques initiées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avec la classe politique et les organisations de la société civile, vont bon train.Les consultations politiques initiées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avec la classe politique et les organisations de la société civile, vont bon train.
Plus, elles ont même pris une nouvelle cadence la semaine passée lorsque le chef de l'Etat a reçu en audience de nombreux dirigeants de partis politiques et d'associations de la société civile. Ainsi jeudi Tebboune a reçu les responsables du Rassemblement pour le nouveau processus et de l'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS), ainsi que le secrétaire général de la centrale syndicale. Deux jours auparavant, soit mardi, Abdelmadjid Tebboune, a reçu au siège de la présidence de la République, les chefs de trois partis politique, à savoir le Mouvement Ennahda, le parti El-Karama et le Front national Algérien (FNA). Cette succession d'audiences donne la nette impression que le chef de l'Etat a vraiment accéléré la cadence dans les consultations entreprises il y a de longues semaine déjà. Des consultations qui interviennent dans un contexte politique marqué, notamment, par les préparatifs relatifs aux élections législatives anticipées du 12 juin prochain. Depuis son accession à la présidence de la République, Tebboune s'est toujours déclaré favorable au dialogue et à la concertation.
En cela, comme il 'a soutenu à maintes reprises "les portes de la présidence sont grandes ouvertes à tous ceux qui veulent contribuer pour le bien du pays". Et depuis il a été constant dans cette démarche. Une démarche qui a de suite suscitée l'adhésion d'une bonne partie de la classe politique, mais, aussi, la désapprobation d'une autre partie qui a boudé ces consultations en considérant qu'elles ne servent que l'agenda du pouvoir et que ce dernier demeure sourd à tous les appels pour favoriser "un vrai dialogue, seul à même de sortir le pays de la crise politique qu'il traverse. Des partis comme le RCFDet le PTfont partie de cette catégorie de partis politiques qui ne partagent pas les mêmes conceptions que le chef de l'Etat. Mais d'autres partis politiques de l'opposition ont répondu favorablement à l'invite de la présidence comme c'est le cas du FFS dont une délégation s'est déplacée au siège du palais d'El-Mouradia où elle a été reçue par Tebboune dans le cadre de ces consultations politiques. Cette audience a suscité la désapprobation d'une partie des cadres et militants du FFS qui ont vu d'un mauvais oeil la démarche entreprise par la direction du parti. Cela n'a pas été le cas pour les partis islamistes, qui ont dans leur majorité été reçus en audience par le président de la République sans que cela ne fasse de vagues au sein de leur base militante.
C'est dire la différence d'approche entre les islamistes et le courant dit démocratique. Mais qu'à cela netienne Tebboune tient plus que jamais à sa feuille de route dont les prochaines élections législatives anticipées du 12 juin constituent incontestablement une étape cruciale. C'est ce qui expliquerait l'accélération de la cadence des consultations en vue de faire adhérer un marge éventail de partis politique, d'organisations et d'associations de la société civile à la prochaine joute électorale.
Plus, elles ont même pris une nouvelle cadence la semaine passée lorsque le chef de l'Etat a reçu en audience de nombreux dirigeants de partis politiques et d'associations de la société civile. Ainsi jeudi Tebboune a reçu les responsables du Rassemblement pour le nouveau processus et de l'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS), ainsi que le secrétaire général de la centrale syndicale. Deux jours auparavant, soit mardi, Abdelmadjid Tebboune, a reçu au siège de la présidence de la République, les chefs de trois partis politique, à savoir le Mouvement Ennahda, le parti El-Karama et le Front national Algérien (FNA). Cette succession d'audiences donne la nette impression que le chef de l'Etat a vraiment accéléré la cadence dans les consultations entreprises il y a de longues semaine déjà. Des consultations qui interviennent dans un contexte politique marqué, notamment, par les préparatifs relatifs aux élections législatives anticipées du 12 juin prochain. Depuis son accession à la présidence de la République, Tebboune s'est toujours déclaré favorable au dialogue et à la concertation.
En cela, comme il 'a soutenu à maintes reprises "les portes de la présidence sont grandes ouvertes à tous ceux qui veulent contribuer pour le bien du pays". Et depuis il a été constant dans cette démarche. Une démarche qui a de suite suscitée l'adhésion d'une bonne partie de la classe politique, mais, aussi, la désapprobation d'une autre partie qui a boudé ces consultations en considérant qu'elles ne servent que l'agenda du pouvoir et que ce dernier demeure sourd à tous les appels pour favoriser "un vrai dialogue, seul à même de sortir le pays de la crise politique qu'il traverse. Des partis comme le RCFDet le PTfont partie de cette catégorie de partis politiques qui ne partagent pas les mêmes conceptions que le chef de l'Etat. Mais d'autres partis politiques de l'opposition ont répondu favorablement à l'invite de la présidence comme c'est le cas du FFS dont une délégation s'est déplacée au siège du palais d'El-Mouradia où elle a été reçue par Tebboune dans le cadre de ces consultations politiques. Cette audience a suscité la désapprobation d'une partie des cadres et militants du FFS qui ont vu d'un mauvais oeil la démarche entreprise par la direction du parti. Cela n'a pas été le cas pour les partis islamistes, qui ont dans leur majorité été reçus en audience par le président de la République sans que cela ne fasse de vagues au sein de leur base militante.
C'est dire la différence d'approche entre les islamistes et le courant dit démocratique. Mais qu'à cela netienne Tebboune tient plus que jamais à sa feuille de route dont les prochaines élections législatives anticipées du 12 juin constituent incontestablement une étape cruciale. C'est ce qui expliquerait l'accélération de la cadence des consultations en vue de faire adhérer un marge éventail de partis politique, d'organisations et d'associations de la société civile à la prochaine joute électorale.


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