Algérie

Suzanne au pays des merveilles : Pardon pour les offensés



Suzanne au pays des merveilles : Pardon pour les offensés
C'est Dieu qui offre le grand pardon, pas les hommes'
C'est Dieu qui offre le grand pardon, pas les hommes' C'est à Lui que je me retourne pour faire mon mea-culpa concernant le dernier sujet que j'ai traité dans cette colonne. Si j'ai parlé de génocide footballistique, c'était, bien évidemment, juste pour rester dans l'esprit satirique de ma chronique. Rien de plus. Mais j'ai vu que cela a beaucoup choqué des lecteurs qui m'ont demandé de faire mes excuses aux Rwandais et aux Serbes. Je m'incline donc respectueusement devant la mémoire de tous ceux qui ont connu une telle atrocité et je demande pardon, du fond du c'ur, d'avoir fait dans la «provocation gratuite», comme ils me l'ont écrit. J'espère que je serai pardonnée pour cette basse «envolée» que je n'aurais sans doute pas acceptée, si un étranger nous l'avait claquée à la face, même dans une analogie de Guignols'. Cela dit, n'allez pas penser que c'est le patron qui m'a sommé de le faire. Dieu merci, au Buteur, la liberté de ton est quasi totale. A partir d'aujourd'hui, je promets donc de me contrôler plus en m'imposant un ton moins «insouciant» et plus regardant, même si je ne suis pas à l'abri d'autres bêtises. Il n'y a que celui qui ne fait rien qui ne se trompe pas. Aujourd'hui, le plus important est que les Verts aient gagné avec l'art et la manière ; que Vahid Halilhodzic soit porté sur les épaules de Raouraoua qui pense qu'il est bien l'entraîneur qui manquait à l'Algérie, pour dire de manière subliminale, que son jugement a été juste. Que parmi les Verts, il y avait autant de joueurs formés en Algérie que «made in France». Que la pelouse de Tchaker ait trouvé le bon fellah et, surtout, que les Verts aient fait un carnage footballistique avec ce mémorable 4-0 dont on avait perdu la saveur. Quoi ' Il y a encore un mot interdit '




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