Résumé de la 118e partie - Le cri de détresse de Sharon a propulsé Steve dans un état second lui insufflant une forme physique exceptionnelle.
C'était trop tard pour lui. Mais c'était trop tard pour les autres aussi. En fin de compte, c'était toujours le Renard qui gagnait.
Il tendit la main vers le déflecteur, essaya de découvrir la valise.
Un éclair aveuglant, une déflagration qui lui fit éclater les tympans, le propulsa dans l'éternité.
11h 42
Bob Kurner entra comme une trombe dans l'église St. Bernard, remonta le bas-côté, et enlaça la silhouette agenouillée.
«C'est fini '» Ses yeux étaient secs.
«C'est fini ! Allez, maman Thompson, venez ramener votre enfant à la maison. Ils ont la preuve absolue qu'un autre type avait commis le meurtre ; ils ont trouvé un enregistrement de lui en train de tuer Nina Peterson. Le gouverneur a dit de relâcher Ron immédiatement.»
Kate Thompson, la mère de Ronald Thompson, cette croyante à toute épreuve en la Bonté et la Miséricorde de son Dieu, s'évanouit.
Roger décrocha le téléphone, se tourna vers Glenda. «Ils sont arrivés à temps, dit-il.
' Sharon, Neil, les deux sont sauvés ' murmura Glenda.
' Oui, et le jeune Thompson rentre chez lui.»
Glenda porta une main à sa gorge. «Merci, mon Dieu.» Elle vit l'expression de Roger. «Je vais très bien, chéri. Enlève toutes ces satanées pilules et prépare-moi un bon whisky bien sec.
Hugh avait passé son bras autour de Rosie qui pleurait doucement. «Lally a sauvé sa gare, disait-il. Et nous allons faire une pétition pour qu'on appose une plaque commémorative en son honneur. Je demanderai au gouverneur Carey de venir en personne la dévoiler. C'est un type bien...
' Une plaque en l'honneur de Lally, murmura Rosie. Oh ! elle aurait adoré ça !»
Un visage flottait quelque part au-dessus d'elle. Elle allait mourir et ne reverrait plus jamais Steve. «Non... non...
' Tout va bien, chérie, tout va bien.»
La voix de Steve. C'était le visage de Steve.
«Tout est fini. Nous allons à l'hôpital. On va te soigner cette jambe.
' Neil...
' Je suis là, Sharon.» Une caresse de papillon dans ses mains.
Les lèvres de Steve sur sa joue, son front, ses lèvres.
La voix de Neil à son oreille. «Sharon, j'ai fait ce que tu m'as dit. J'ai tout le temps pensé au cadeau que tu m'as promis. Sharon, tu as exactement combien de trains Lionel pour moi '»
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Posté Le : 09/05/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : D'après Mary Clark Higgins
Source : www.infosoir.com