Algérie

Suspense



Suspense
Résumé de la 108e partie - Poirot se souvient que Mary Restarick n'est pas la mère de Norma...
Pas pour elle donc les appréhensions, les angoisses d'une mère au sujet d'une fille se lançant dans un mariage mal assorti... et malheureux, ou l'annonce d'un enfant illégitime né d'un père qu'on méprise.
Quels étaient les sentiments de Mary vis-à-vis de Norma ' Probablement la jugeait-elle d'abord une fille difficile... ayant choisi un jeune homme qui deviendrait, sans aucun doute, une source de soucis et d'ennuis pour Andrew Restarick. Mais qu'avait pu penser Mary d'une belle-fille qui, apparemment, essayait de l'empoisonner '
Sa réaction paraissait avoir été raisonnable. Elle avait seulement écarté Norma de la maison, éloignant ainsi le danger qui pesait sur elle et avait coopéré avec son mari, pour étouffer un scandale possible. Norma venait passer le week-end parmi eux pour sauver les apparences.
Pour Poirot, l'identité de la personne qui avait tenté d'empoisonner Mary Restarick était loin d'être découverte, bien que Restarick, lui-même, pensât qu'il s'agissait de sa fille...
A présent, Poirot réfléchissait sur le cas de Sonia. Que faisait-elle dans cette maison ' Pourquoi y était-elle venue. Sir Roderick lui mangeait dans le creux de la main' Peut-être ne désirait-elle pas retourner dans son pays ' Peut-être son dessein était-il purement matrimonial' Les hommes de l'âge de Sir Roderick épousent de jolies jeunes filles chaque jour de la semaine. Dans ce cas, Sonia pourrait bien réussir. Une position sociale assurée, et un assez prompt veuvage en perspective avec une belle rente...
A moins que son but soit complètement différent ' S'était-elle rendue aux Kew Gardens avec les papiers de Sir Roderick qui avaient disparu et qu'elle aurait dissimulés dans les pages d'un livre '
Mary Restarick aurait-elle nourri des soupçons sur les activités de Sonia ' Et dans ce cas, serait-ce Sonia qui lui aurait administré des substances toxiques par le truchement des aliments préparés par ses soins '
Abandonnant l'étrangère, Poirot se rendit mentalement à Londres, chez les trois jeunes filles qui partageaient un appartement. Claudia Reece-Holland, Frances Cary et Norma Restarick.
Claudia Reece-Holland, capable, expérimentée, jolie, secrétaire de première classe. Frances Cary, artiste, élève d'une école d'art dramatique, puis de Slade qu'elle avait abandonné. Elle gagnait bien sa vie et fréquentait un milieu bohème. Elle connaissait le jeune Baker, bien que rien ne laissât supposer qu'ils étaient plus qu'amis, Peut-être était-elle cependant amoureuse de lui '
Un beau mâle à l'air impudent et légèrement ironique qu'il avait rencontré tout d'abord dans les escaliers de Crosshedge, remplissant une mission pour Norma (ou en reconnaissance pour son propre compte ') Poirot avait revu David lorsqu'il l'avait fait monter dans sa voiture. (A suivre...)




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