La nécessité d’étendre les périmètres irrigués en Tunisie, et la rareté d’eau d’irrigation de bonne qualité, ont amen& les agronomes à utiliser des eaux plus ou moins salées de différentes origines. Mais si on a pu montrer que dans des conditions déterminées (d’ordre climatique, édaphique et culturale) il est possible d’utiliser pour l’irrigation certaines eaux, qualifiées de mauvaises par certaines classifications, sans risque d’endommagement immédiat pour les sols ou les cultures, on n’a pas manqué de déceler certains effets accidentels dans certains cas. Un de ces accidents a été signalé par COMBREMENT (1969) dans le sol de NAKTA, une des stations expérimentales du C.R.U.E.S.I.
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Posté Le : 30/01/2022
Posté par : einstein
Ecrit par : - M'hiri A.
Source : Annales de l'Institut national agronomique El Harrach Volume 6, Numéro 1, Pages 297-318