Si rien n'interdit l'émergence de radios privées, les personnes désireuses de se lancer dans ce créneau se heurtent aux arguments relatifs à la saturation des fréquences. Le ministère de la communication avait promis de saisir l'Union internationale des télécommunications pour l'octroi d'un quota plus important de fréquences mais depuis, c'est le silence radio !
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Posté Le : 03/02/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Periscoop
Source : www.lesoirdalgerie.com