Stabilisé à 44,63 %

Le taux de remplissage des barrages en exploitation à travers le territoire national s'est maintenu à 44,63 %, affirme le ministère des Ressources en Eau. Un taux jugé "stable", par rapport à fin janvier, grâce aux précipitations enregistrées depuis fin novembre. Si les volumes d'eau emmagasinés, à travers les 80 barrages du pays, sont stables, c'est "grâce aux épisodes pluviométriques enregistrés dans plusieurs wilayas du pays durant les derniers mois", indique Mustapha Chaouchi, conseiller à la communication auprès du ministèreLe taux de remplissage des barrages en exploitation à travers le territoire national s'est maintenu à 44,63 %, affirme le ministère des Ressources en Eau. Un taux jugé "stable", par rapport à fin janvier, grâce aux précipitations enregistrées depuis fin novembre. Si les volumes d'eau emmagasinés, à travers les 80 barrages du pays, sont stables, c'est "grâce aux épisodes pluviométriques enregistrés dans plusieurs wilayas du pays durant les derniers mois", indique Mustapha Chaouchi, conseiller à la communication auprès du ministère
des Ressources en eau. La même source précise que : "Le volume global mobilisé dans les barrages a atteint 3,4 milliards m3". La région est du pays, a connu un taux de remplissage de 68,4 %, avec 3 barrages ayant enregistré un déversement, notamment le barrage de Beni-Haroun dans la wilaya de Mila ainsi que les barrages de Beni-Zid et de Zit-Emba dans la wilaya de Skikda. Le ministère des Ressources en eau ne manque pas d'insister, à chaque fois, sur la "nécessité d'économiser l'eau et d'adopter une utilisation rationnelle de cette ressource pour éviter les Sur l'ensemble du pays, le volume global mobilisé dans les barrages a ainsi atteint 3,4 milliards m3, selon la même source. La région Est a connu un taux de remplissage de 68,4 %, avec 3 barrages qui ont enregistré un déversement, à savoir ceux de Beni- Haroun dans la wilaya de Mila ainsi que Beni-Zid et Zit- Emba dans la wilaya de Skikda. M. Chaouchi a tenu à souligner que "le ministère opère dans le cadre d'une nouvelle vision dans le domaine des ressources en eau du fait que l'Algérie, se situant en Afrique du Nord, fait face régulièrement à une pénurie de la ressource hydrique.
Le ministère insiste sur la nécessité d'économiser l'eau et sur son utilisation de manière rationnelle pour éviter les perturbations d'approvisionnement", a-t-il indiqué. Pour rappel, l'Agence nationale des barrages et transferts (ANBT), a annoncé un taux de remplissage des barrages en exploitation à travers le territoire national de 44,60 %, durant la période allant du 20 novembre 2020 au 25 janvier 2021. Les données de l'ANBT précisent que le taux de remplissage des barrages à l'Ouest est estimé à 27,49 %. L'apport enregistré, durant la même période, avoisine 53 millions m3, portant le volume mobilisé à 264,30 millions m3. Dans la région Cheliff, l'apport enregistré a dépassé 152 millions m3, correspondant un volume mobilisé de 480,75 millions m3, soit un taux de remplissage d 30,13 %. La région Centre a, quant elle, enregistré un apport de l'ordre de 151,8 millions m3, permettant d'avoir un volume mobilisé de 439,73 millions m3, soit un taux de remplissage de 24,18
Dans la région Est, l'apport enregistré est de plus de 647 millions m3, portant le volume mobilisé à plus de 2,2 milliards m3, soit un taux de remplissage de 67,33 %. Selon les spécialistes, "plus d'un milliard m3 d'eau sont jetés dans la nature en Algérie", alors que le pays pourrait au moins réutiliser 700 ou 800 millions m3 pour irriguer en complément les grandes cultures, tout en respectant les conditions édictées par le décret de 2012 qui fixe la réutilisation des eaux usées recyclées.
des Ressources en eau. La même source précise que : "Le volume global mobilisé dans les barrages a atteint 3,4 milliards m3". La région est du pays, a connu un taux de remplissage de 68,4 %, avec 3 barrages ayant enregistré un déversement, notamment le barrage de Beni-Haroun dans la wilaya de Mila ainsi que les barrages de Beni-Zid et de Zit-Emba dans la wilaya de Skikda. Le ministère des Ressources en eau ne manque pas d'insister, à chaque fois, sur la "nécessité d'économiser l'eau et d'adopter une utilisation rationnelle de cette ressource pour éviter les Sur l'ensemble du pays, le volume global mobilisé dans les barrages a ainsi atteint 3,4 milliards m3, selon la même source. La région Est a connu un taux de remplissage de 68,4 %, avec 3 barrages qui ont enregistré un déversement, à savoir ceux de Beni- Haroun dans la wilaya de Mila ainsi que Beni-Zid et Zit- Emba dans la wilaya de Skikda. M. Chaouchi a tenu à souligner que "le ministère opère dans le cadre d'une nouvelle vision dans le domaine des ressources en eau du fait que l'Algérie, se situant en Afrique du Nord, fait face régulièrement à une pénurie de la ressource hydrique.
Le ministère insiste sur la nécessité d'économiser l'eau et sur son utilisation de manière rationnelle pour éviter les perturbations d'approvisionnement", a-t-il indiqué. Pour rappel, l'Agence nationale des barrages et transferts (ANBT), a annoncé un taux de remplissage des barrages en exploitation à travers le territoire national de 44,60 %, durant la période allant du 20 novembre 2020 au 25 janvier 2021. Les données de l'ANBT précisent que le taux de remplissage des barrages à l'Ouest est estimé à 27,49 %. L'apport enregistré, durant la même période, avoisine 53 millions m3, portant le volume mobilisé à 264,30 millions m3. Dans la région Cheliff, l'apport enregistré a dépassé 152 millions m3, correspondant un volume mobilisé de 480,75 millions m3, soit un taux de remplissage d 30,13 %. La région Centre a, quant elle, enregistré un apport de l'ordre de 151,8 millions m3, permettant d'avoir un volume mobilisé de 439,73 millions m3, soit un taux de remplissage de 24,18
Dans la région Est, l'apport enregistré est de plus de 647 millions m3, portant le volume mobilisé à plus de 2,2 milliards m3, soit un taux de remplissage de 67,33 %. Selon les spécialistes, "plus d'un milliard m3 d'eau sont jetés dans la nature en Algérie", alors que le pays pourrait au moins réutiliser 700 ou 800 millions m3 pour irriguer en complément les grandes cultures, tout en respectant les conditions édictées par le décret de 2012 qui fixe la réutilisation des eaux usées recyclées.