SPORT UNIVERSITAIRE -Championnat national féminin de Mascara

Une réussite totale Quand de hauts cadres, à l’exemple des Afif Bengoua et Meftah Mohamed, respectivement directeur de la résidence universitaire des «1000 lits» et des œuvres universitaires, mettent la main à la pâte, sans aucun protocole, il faut s’attendre à la réussite. C’est ce qui s’est passé lors de ce championnat national universitaire qui a regroupé les formations représentant les résidences «19 mai 56» et «Belbouri Saïd» d’Oran, Ben Aknoun d’Alger, «Medouha» de Tizi-Ouzou, «1000 lits» et «1500 lits» de Mascara, «2000 lits» de Saïda, «Assia Kebir» de Tiaret, «Bakhti Abdelmadjid» de Tlemcen, qui y ont participé dans les quatre disciplines, football, basket-ball, volley-ball et handball et n’ont pas tari d’éloges sur l’organisation qui a été excellente, sur tous les plans. Que ce soit en matière d’hébergement, restauration ou l’arbitrage mais aussi sur le plan des loisirs car les organisateurs, par le biais du service, activités culturelles et sportives, ont joint l’utile à l’agréable. En effet, les délégations ont été conviées à une visite guidée des sites historiques de la ville. De plus, la cérémonie de remise des récompenses aux divers lauréats qui a été rehaussée par la présence d’invités de marque y compris la presse dans son ensemble, fut organisée en musique (disc-jockey). Et, le plus sympathique, c’est qu’à chaque remise de médailles et coupe, la délégation intéressée a eu droit à une musique du terroir, comme du Idir pour les Kabyles, châabi pour les Algérois, andalouse pour les Tlemcéniens ou bien, raï et «gasba» pour le reste. Ceci pour dire que la clôture de ce championnat fut une véritable fête où toutes les étudiantes en ont profité pour se défouler et il est facile de deviner l’ambiance orchestrée par les nombreuses filles présentes. Cela dit, tous les invités furent conviés à un dîner gastronomique. Enfin, nous ne manquerons de signaler que les 25 matchs, toutes disciplines confondues, se sont déroulé à la salle OMS de l’OPOW et au «Mateco» de l’université.