Algérie

Soutien à l'ex-GSPC Un Algérien et un Français mis en examen à Paris



Le groupe des huit personnes, sept Algériens et un Français, arrêtées mardi à Paris en raison de son lien présumé avec la Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, a été déféré, hier, devant la justice française. A l'issue des auditions, deux personnes de ce groupe, un Algérien de 31 ans et un Français de 35 ans, soupçonnées d'entretenir des liens actifs avec cette mouvance terroriste à laquelle le GSPC avait prêté allégeance, rappelle-t-on, ont été inculpées par un juge d'instruction antiterroriste près le tribunal de Paris et écrouées, selon une source judiciaire de l'Hexagone, a rapporté hier l'AFP.      Les deux hommes ont été mis en examen pour les chefs d'accusation d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et placés en détention provisoire, a précisé la même source. Les deux inculpés faisaient partie d'un groupe de huit personnes interpellées mardi matin à Paris, dans sa proche banlieue et dans la région de Rouen (ouest) par les services de contre-espionnage (DST). Les six autres personnes placées en garde à vue ont été remises en liberté après que la justice n'eut retenu aucune charge. Leur interpellation faisait suite à une enquête de plusieurs mois de la Direction de la surveillance du territoire (DST), qui avait entraîné l'ouverture d'une information judiciaire le 21 novembre pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Ils sont soupçonnés d'avoir fourni du matériel informatique à Baqmi.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)