Algérie

Soumises dorénavant à plus de contrôle



Soumises dorénavant à plus de contrôle
Les multinationales, présentes en Algérie, seront soumises dorénavant à plus de contrôle. Les marchés publics seront plus sévères dans l'octroi d'exercer aux groupes étrangers. Les pertes sèches de l'Algérie se chiffrent en dizaines de milliards de dinars suite à des contrats qui n'ont pas rempli tous les engagements indiqués dans les clauses.Les multinationales, présentes en Algérie, seront soumises dorénavant à plus de contrôle. Les marchés publics seront plus sévères dans l'octroi d'exercer aux groupes étrangers. Les pertes sèches de l'Algérie se chiffrent en dizaines de milliards de dinars suite à des contrats qui n'ont pas rempli tous les engagements indiqués dans les clauses.Le secteur de l'énergie, des travaux publics surtout avec l'autoroute Est-Ouest, l'affaire du groupe Carrefour et l'émirati Eamar ainsi que le dossier Orascom ont, tous, causé du tort à l'Etat algérien. La confiance accordée à ces groupes qui développaient dans leurs discours leur intention d'investir et de créer de l'emploi a cédé à une sorte de martingale dont ils sont sortis avec des milliards de dividendes et très peu de résultats. Et c'est le trésor public qui en paie le prix.Pour mettre fin à ces manigances, il est question dorénavant de contrôle sur les opérations comptables de ces groupes. Pas question de leur donner des projets ou des chantiers sans s'assurer de leur contribution réelle et de vérifier si réellement ces entités créent de l'emploi pour les jeunes chômeurs. Là où les groupes pétroliers internationaux sévissent au sud, les chômeurs de la région ne sont pas acceptés pour des postes subalternes.Pis, ces grands groupes préfèrent recourir à leurs expatriés payés conséquemment au détriment de jeunes cadres qui disposent pourtant des qualifications requises. Mais avec la nouvelle disposition sur le soutien à l'emploi des jeunes générations de diplômés, le gouvernement Sellal oblige tous les groupes étrangers présents et ceux qui désirent s'installer à privilégier les postes de travail pour les algériens. Comme cela est de tradition ailleurs, les patrons de multinationales doivent, au moins, intégrer des cadres locaux dans leurs projets sauf pour quelques rares exceptions.Outre la règle des 51/49 qui reste irréversible dans le partenariat ; il incombe à ces multinationales de créer leurs entreprises de droit algérien et de respecter le délai des réalisations, particulièrement dans les domaines de logements, autoroute, industrie... Pour ne pas se faire flouer au passage, le gouvernement a instruit ses ministres d'être attentif sur le bon déroulement des projets signés avec des partenaires étrangers.Ces derniers, faut-il l'indiquer, bénéficient de largesses fiscales en ne payant aucun impôt pendant les 5 ans de leurs projets d'investissements. Ils bénéficient également d'octroi d'assiettes de terrains qui parfois ont été cédés au détriment des demandes émanant des opérateurs algériens. Or, selon plusieurs sources, les hommes d'affaires étrangers et ceux qui représentent leurs groupes en Algérie ne font pas assez pour respecter leurs engagements. C'est à cette situation que l'Etat veut désormais mettre fin.Le secteur de l'énergie, des travaux publics surtout avec l'autoroute Est-Ouest, l'affaire du groupe Carrefour et l'émirati Eamar ainsi que le dossier Orascom ont, tous, causé du tort à l'Etat algérien. La confiance accordée à ces groupes qui développaient dans leurs discours leur intention d'investir et de créer de l'emploi a cédé à une sorte de martingale dont ils sont sortis avec des milliards de dividendes et très peu de résultats. Et c'est le trésor public qui en paie le prix.Pour mettre fin à ces manigances, il est question dorénavant de contrôle sur les opérations comptables de ces groupes. Pas question de leur donner des projets ou des chantiers sans s'assurer de leur contribution réelle et de vérifier si réellement ces entités créent de l'emploi pour les jeunes chômeurs. Là où les groupes pétroliers internationaux sévissent au sud, les chômeurs de la région ne sont pas acceptés pour des postes subalternes.Pis, ces grands groupes préfèrent recourir à leurs expatriés payés conséquemment au détriment de jeunes cadres qui disposent pourtant des qualifications requises. Mais avec la nouvelle disposition sur le soutien à l'emploi des jeunes générations de diplômés, le gouvernement Sellal oblige tous les groupes étrangers présents et ceux qui désirent s'installer à privilégier les postes de travail pour les algériens. Comme cela est de tradition ailleurs, les patrons de multinationales doivent, au moins, intégrer des cadres locaux dans leurs projets sauf pour quelques rares exceptions.Outre la règle des 51/49 qui reste irréversible dans le partenariat ; il incombe à ces multinationales de créer leurs entreprises de droit algérien et de respecter le délai des réalisations, particulièrement dans les domaines de logements, autoroute, industrie... Pour ne pas se faire flouer au passage, le gouvernement a instruit ses ministres d'être attentif sur le bon déroulement des projets signés avec des partenaires étrangers.Ces derniers, faut-il l'indiquer, bénéficient de largesses fiscales en ne payant aucun impôt pendant les 5 ans de leurs projets d'investissements. Ils bénéficient également d'octroi d'assiettes de terrains qui parfois ont été cédés au détriment des demandes émanant des opérateurs algériens. Or, selon plusieurs sources, les hommes d'affaires étrangers et ceux qui représentent leurs groupes en Algérie ne font pas assez pour respecter leurs engagements. C'est à cette situation que l'Etat veut désormais mettre fin.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)