Algérie

SOS des pêcheurs en détresse Chambre nationale de la pêche et de l'agriculture


Le président de la Chambre nationale de la pêche et de l'agriculture, Chaib Akkad, a déclaré, hier, au cours d'une conférence de presse tenue à Alger, que « la loi concernant la retraite des pêcheurs devait être appliquée à la lettre, suite aux multiples rounds menés par les représentants de la Chambre nationale de la pêche avec leur tutelle. »Le président de la Chambre nationale de la pêche et de l'agriculture, Chaib Akkad, a déclaré, hier, au cours d'une conférence de presse tenue à Alger, que « la loi concernant la retraite des pêcheurs devait être appliquée à la lettre, suite aux multiples rounds menés par les représentants de la Chambre nationale de la pêche avec leur tutelle. »
Le directeur de la CNPA a rappelé que la nouvelle loi, parue récemment au Journal officiel, indique que
« trois catégories de pêcheurs ont le droit de bénéficier des indemnités dans le cadre de la retraite. Concernant le marin qualifié, ce dernier aura le droit de toucher une pension de retraite pouvant atteindre deux fois le salaire de base, alors que le capitaine de bord aura le droit à une pension pouvant atteindre six fois le salaire de base », explique-t-il.
Dans le même sillage, Chaib Akkad a indiqué que parmi les points essentiels que les pêcheurs défendent se trouve la limite d'âge pour le départ à la retraite qui est actuellement de 32 ans, les pêcheurs demandent sa révision à 25 ans. « Il est inimaginable qu'un pêcheur puisse exercer 32 ans pour prendre sa retraite. C'est un métier pénible qui nécessite beaucoup d'efforts et de sacrifices, surtout quand on est appelés à faire face à des conditions difficiles », déplore Chaib Akkad. D'autre part, le représentant de la CNPA a parlé de s difficultés auxquelles les pêcheurs font face dans leur métier.
« Des difficultés, indique le conférencier, d'ordre matériel et d'ordre organisationnel qui nuisent au développement du secteur de la pêche. Récemment, les propriétaires des bateaux de pêche ont été destinataires d'une instruction selon laquelle ils devaient impérativement s'équiper d'un radar pour pouvoir avoir des équipements sensibles. Mais pour s'équiper d'un tel appareil il faut tout d'abord avoir l'aval du ministère de la Défense et celui des Postes et des Télécommunications », lance-t-il. Enfin, le conférencier a lié la flambée des prix des poissons à la baisse de la production qui, selon lui, en est l'unique cause.
« La vétusté des bateaux, ajoutée aux dettes des pêcheurs sont autant de facteurs ayant causé la montée des prix du poisson, c'est la raison pour laquelle le représentant des pêcheurs algériens a demandé à la tutelle d'accorder des crédits aux pêcheurs pour qu'ils arrivent à faire face aux défis, développer le secteur et, surtout, produire plus de poissons et faire ainsi casser les prix ».
Le directeur de la CNPA a rappelé que la nouvelle loi, parue récemment au Journal officiel, indique que
« trois catégories de pêcheurs ont le droit de bénéficier des indemnités dans le cadre de la retraite. Concernant le marin qualifié, ce dernier aura le droit de toucher une pension de retraite pouvant atteindre deux fois le salaire de base, alors que le capitaine de bord aura le droit à une pension pouvant atteindre six fois le salaire de base », explique-t-il.
Dans le même sillage, Chaib Akkad a indiqué que parmi les points essentiels que les pêcheurs défendent se trouve la limite d'âge pour le départ à la retraite qui est actuellement de 32 ans, les pêcheurs demandent sa révision à 25 ans. « Il est inimaginable qu'un pêcheur puisse exercer 32 ans pour prendre sa retraite. C'est un métier pénible qui nécessite beaucoup d'efforts et de sacrifices, surtout quand on est appelés à faire face à des conditions difficiles », déplore Chaib Akkad. D'autre part, le représentant de la CNPA a parlé de s difficultés auxquelles les pêcheurs font face dans leur métier.
« Des difficultés, indique le conférencier, d'ordre matériel et d'ordre organisationnel qui nuisent au développement du secteur de la pêche. Récemment, les propriétaires des bateaux de pêche ont été destinataires d'une instruction selon laquelle ils devaient impérativement s'équiper d'un radar pour pouvoir avoir des équipements sensibles. Mais pour s'équiper d'un tel appareil il faut tout d'abord avoir l'aval du ministère de la Défense et celui des Postes et des Télécommunications », lance-t-il. Enfin, le conférencier a lié la flambée des prix des poissons à la baisse de la production qui, selon lui, en est l'unique cause.
« La vétusté des bateaux, ajoutée aux dettes des pêcheurs sont autant de facteurs ayant causé la montée des prix du poisson, c'est la raison pour laquelle le représentant des pêcheurs algériens a demandé à la tutelle d'accorder des crédits aux pêcheurs pour qu'ils arrivent à faire face aux défis, développer le secteur et, surtout, produire plus de poissons et faire ainsi casser les prix ».
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