Algérie

SOIRÉE COURTS-MÉTRAGES



SOIRÉE COURTS-MÉTRAGES

vendredi 07 avril à 21h30

Institut Français d'Algérie à Annaba

ProjectionDébat avec la présence des réalisateurs suivants : Abderrahmane Harrat Youcef Mansour Ghyzlène Boukaila Elina Kastler



Synopsis des courts-métrage de la soirée :



1/ Toute la nuit de Fayçal Hammoum (17', 2021)

Alors que la nuit tombe sur Alger, Louisa, la cinquantaine

apparait à la sortie d’une gare sombre au centre-ville. Elle

marche, en placardant des avis de recherche. Elle plonge,

fantomatique, dans l’obscurité́ de la ville. Commence alors

dans les ruelles de la capitale une longue nuit d’errance.



2/ Déboussolé de Youcef Mansour (11', 2023, Alg)

Brahim et Karim sont deux amis d’enfance, ils ont planifié de fuir l'Algérie, mais depuis les manifestations populaires les choses ont pris une tournure différente.



3/#31# de Ghyzlène Boukaila

Au large d’un monde en reconstruction, d’un monde fissuré par les foudres et par des frontières illusoires, des larmes sanglantes nous parviennent de sources cryptées. Ces murmures sonnent comme des alertes. Une nouvelle sous forme de code parvient à s’énoncer. Cheikh Morad Djadja doit se rendre à ce taxiphone pour y laisser son propre message vocal, masqué.



4/ Achewiq, le chant des femmes courages de Elina Kastler (16', 2023)

La Kabylie incendiée. Les lambeaux des oliviers brûlés surplombent les montagnes. Au milieu de ces ravages, des femmes chantent. Leur chant ancestral, Achewiq, sublime les souffrances. Avec simplicité, le quotidien des femmes de Sahel se dévoile : au travers du rire et de la joie, elles parviennent à surmonter toutes ces peines. Les cendres de la terre brûlée vont devenir des germes à fleurir.



5/ Djamila fi zaman El Hirak de Abderrahmane Harrat (7', Doc court, 2021)

Avec l'avènement du mouvement populaire algérien « Hirak », le vent du changement est venu, le film documentaire nous raconte l'histoire de Djamila, une femme algérienne «SDF », et la réalité de sa souffrance quotidienne et sa tragédie après qu'elle s’est retrouvée dans la rue, Djamila retrouve dans le « Hirak », un espoir pour faire entendre sa voix.







Entrée libre.

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