Algérie

Slim Othmani nous écrit



Et suite à  la publication par certains médias de l'ordonnance du Conseil fédéral suisse parue le 19 janvier et instituant le gel des avoirs et des ressources économiques à  l'encontre de certaines personnes originaires de Tunisie, où le nom de mon associé figure comme étant «le fils de Belhassen, représentant de Lacoste» en Tunisie, Algérie et Libye, je voudrais apporter le démenti suivant. - Je réfute catégoriquement tout lien de parenté ou autre qu'aurait mon associé Mehdi Trabelsi avec Belhassen Trabelsi. Ce dernier est âgé de 47 ans. Ayant 44 ans, Mehdi Trabelsi ne peut donc àªtre son fils, comme indiqué par erreur dans l'ordonnance du Conseil fédéral suisse. - Mon associé Mehdi Trabelsi n'a aucun lien de parenté avec la famille de Leïla Trabelsi. En effet, Mehdi est le fils de Mohsen Trabelsi, promoteur originaire de Sfax, qui a démarré dans les affaires dans les années 1970. Il est à  l'origine de plusieurs réalisations dans le domaine de la distribution, sans jamais avoir associé son nom à  ses homonymes Trabelsi et sans jamais bénéficier de cette confusion après l'avènement de Ben Ali. Il a notamment créé la chaîne de distribution Le Passage, le complexe des 50 Boutiques à  El Menzah VI, le Lac Palace aux Berges du Lac et un complexe hôtelier à  Djerba. Le cabinet suisse Keppeler & associés, avocat de la société Lacoste SA, dont les sociétés Omega Distribution Tunisie et Omega Distribution Algérie sont les représentants exclusifs, a entamé une procédure à  l'encontre du département des Affaires étrangères du Conseil fédéral suisse afin de faire radier immédiatement le nom de Mehdi Trabelsi de la liste en annexe de ladite ordonnance et de parer ainsi aux éventuelles déprédations des boutiques Lacoste à  cause de la publication de ces informations erronées. Le 28 janvier, l'ordonnance du Conseil fédéral suisse a rayé le nom de Mehdi Trabelsi de la liste. L'ordonnance et le correctif sont accessibles sur le site du Conseil fédéral suisse. Pour ma part, je réfute catégoriquement les informations qu'a rapportées le journal EI Watan économie dans son édition du 21 février 2011, relatives à  mon association avec Belhassen Trabelsi, que ce soit en Tunisie, en Algérie ou ailleurs dans le monde. D'ailleurs, je ne connais pas Belhassen Trabelsi et, au demeurant, je ne l'ai jamais rencontré. Toujours dans la même édition du journal EI Watan économie, il est fait état du fait que je possède des biens immobiliers ainsi que d'autres affaires en Tunisie. Je réfute catégoriquement ces informations.      Slim Othmami. Président du conseil de
NCA-Rouiba
Associé d'Omega Distribution Algérie (représentant
de Lacoste en Algérie)
 


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