Algérie

Six soldats tués



Six soldats tués
Six soldats irakiens ont été tués hier dans une attaque terroriste menée à l'aide de cinq voitures piégées contre un barrage de l'armée dans la province occidentale d'Al-Anbar, ont indiqué des responsables.Six soldats irakiens ont été tués hier dans une attaque terroriste menée à l'aide de cinq voitures piégées contre un barrage de l'armée dans la province occidentale d'Al-Anbar, ont indiqué des responsables.Neuf soldats ont en outre été blessés dans cette attaque, a indiqué l'officier qui commandait le barrage près de la localité d'Al- Baghdadi, alors que les forces de sécurité mènent depuis plusieurs jours une offensive destinée à reprendre aux membres présumés du groupe terroriste autoproclamée "Etat islamique" (Daech/EI) la ville de Hit, située plus au Sud.Il a affirmé que les attaques à la voiture piégée avaient été conduites dans la matinée par des kamikazes et qu'elles avaient été suivies d'un assaut mené par un commando de 25 hommes contre le point de contrôle à l'entrée d'Al- Baghdadi, localité située à quelque 180 km au nord-ouest de Baghdad. Il s'agit, selon l'officier, du barrage le plus important de l'armée sur la route menant à la base aérienne d'Al-Asad,où un grand nombre de soldats irakiens sont déployés ainsi que des conseillers étrangers. Les accrochages ayant suivi l'attaque ont duré cinq heures et tous les assaillants ont été tués, avec l'aide de raids aériens de la coalition antiterroriste conduite par les Etats-Unis, a-t-il ajouté.Les forces de sécurité resserrent l'étau sur la localité de Hit, du côté d'Al-Baghdadi et de Ramadi, chef-lieu de la province d'Al-Anbar repris au groupe Daech le mois dernier. Cette vaste opération destinée à chasser l'EI des villes d'Al-Anbar a provoqué le déplacement de plusieurs dizaines de milliers de personnes. "Nous craignons que la poursuite des opérations militaires ne déplacent quelque 50.000 personnes dans les prochains jours", souligne Salah Noori, directeur de programme au Conseil norvégien pour les réfugiés.Les agences humanitaires préviennent que les familles déplacées de Hit et ses environs sont difficiles à atteindre et qu'elles sont en danger car elles se trouvent tout près des lignes de front. Quelque 53.000 personnes ont déjà dû fuir leurs foyers cette année avant le début de l'opération pour reprendre Hit, selon des chiffres de l'ONU.Selon l'Organisation internationale pour les migrations, 44 % des plus de 3,3 millions des personnes déplacées à l'intérieur de l'Irak depuis début 2014 sont originaires de la province d'Al-Anbar.Neuf soldats ont en outre été blessés dans cette attaque, a indiqué l'officier qui commandait le barrage près de la localité d'Al- Baghdadi, alors que les forces de sécurité mènent depuis plusieurs jours une offensive destinée à reprendre aux membres présumés du groupe terroriste autoproclamée "Etat islamique" (Daech/EI) la ville de Hit, située plus au Sud.Il a affirmé que les attaques à la voiture piégée avaient été conduites dans la matinée par des kamikazes et qu'elles avaient été suivies d'un assaut mené par un commando de 25 hommes contre le point de contrôle à l'entrée d'Al- Baghdadi, localité située à quelque 180 km au nord-ouest de Baghdad. Il s'agit, selon l'officier, du barrage le plus important de l'armée sur la route menant à la base aérienne d'Al-Asad,où un grand nombre de soldats irakiens sont déployés ainsi que des conseillers étrangers. Les accrochages ayant suivi l'attaque ont duré cinq heures et tous les assaillants ont été tués, avec l'aide de raids aériens de la coalition antiterroriste conduite par les Etats-Unis, a-t-il ajouté.Les forces de sécurité resserrent l'étau sur la localité de Hit, du côté d'Al-Baghdadi et de Ramadi, chef-lieu de la province d'Al-Anbar repris au groupe Daech le mois dernier. Cette vaste opération destinée à chasser l'EI des villes d'Al-Anbar a provoqué le déplacement de plusieurs dizaines de milliers de personnes. "Nous craignons que la poursuite des opérations militaires ne déplacent quelque 50.000 personnes dans les prochains jours", souligne Salah Noori, directeur de programme au Conseil norvégien pour les réfugiés.Les agences humanitaires préviennent que les familles déplacées de Hit et ses environs sont difficiles à atteindre et qu'elles sont en danger car elles se trouvent tout près des lignes de front. Quelque 53.000 personnes ont déjà dû fuir leurs foyers cette année avant le début de l'opération pour reprendre Hit, selon des chiffres de l'ONU.Selon l'Organisation internationale pour les migrations, 44 % des plus de 3,3 millions des personnes déplacées à l'intérieur de l'Irak depuis début 2014 sont originaires de la province d'Al-Anbar.




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