Algérie

Sit-in de gardes communaux




Divers problèmes sociaux professionnels sont à l’origine du sit-in. Les nouvelles affectations sont contestées par les 40% de ce corps muté vers l’administration publique. «Le dispatching du personnel s’est fait d’une manière injuste et hasardeuse, d’autant plus que le niveau d’instruction n’a pas été pris en considération par les chargés du dossier. On demande sur quels critères des ex-collègues qui représentent 60% du corps ont intégré les rangs des forces de sécurité. On ne doit pas passer sous silence la question des salaires qui n’ont fait l’objet d’aucune valorisation depuis 1994 », diront de nombreux gardes pointant du doigt leur nouvelle hiérarchie, qui les utilisent comme agent d’entretien en lieu et place d’agent de sécurité. La non perception des rappels de la défunte garde communale est l’autre point soulevé par les manifestants n’ayant pas manqué de mettre le doigt sur les innombrables congés annuels non payés. Profitant de l’opportunité, des ex-gardes ayant pour divers motifs, fait l’objet de licenciement, se sont joints au mouvement pour demander leur réintégration.    


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)