Algérie

Signature d'un accord-cadre entre Renault et l'Algérie


Signature d'un accord-cadre entre Renault et l'Algérie
Le constructeur automobile français Renault et les autorités algériennes ont signé vendredi dernier un accord-cadre pour la réalisation d'une usine de véhicules de cette marque en Algérie, mais les négociations se poursuivent en vue d'un accord final, a indiqué à l'APS une source de la direction de Renault à Paris. Des négociations entre Renault et les autorités algériennes concernées pour la construction d'une usine automobile en Algérie ont commencé il y a environ deux ans avec pour objectif la production de 75.000 voitures par an, avant une montée progressive en cadence pour atteindre à terme 150.000 unités annuellement, dont une partie serait destinée à l'exportation. Le premier véhicule doit sortir des chaînes de montage 18 mois après la signature de l'accord final, selon les premières indications. Au nombre des points de désaccord qui ont retardé la conclusion rapide d'un accord définitif, le ministre algérien de l'Industrie, Mohamed Benmeradi, avait cité, le 25 avril dernier à Alger, celui du refus de Renault d'implanter son usine sur le site choisi par les Algériens, pour des considérations d'équilibre de développement régional, en l'occurrence à Bellara (Jijel). «Les discussions ont pris plus de temps que prévu. Le partenaire étranger a considéré que le lieu proposé pour l'implantation de l'usine est loin du bassin de l'emploi et qu'il n'offrait pas les opportunités nécessaires», avait précisé le ministre, tout en indiquant que les négociations se poursuivaient sur l'ensemble du projet. Mais selon la source de la DG de Renault interrogée ce vendredi dans la capitale française, le problème du lieu d'implantation de la future usine ne semble plus être une préoccupation majeure du côté du constructeur.
Réalisation de projets
énergétiques en Afrique
La Banque mondiale accorde 176 millions de dollars
Le Conseil d'administration de la Banque mondiale a approuvé jeudi un financement de 176 millions de dollars destiné à deux projets énergétiques dans plusieurs pays africains. Cette enveloppe se compose d'un crédit sans intérêt de 144,5 millions de dollars et d'une subvention de 31,5 millions de dollars pour le financement du ''Pool énergétique ouest africain'' (WAPP), un programme visant à accroître l'approvisionnement en électricité et à réduire le coût de l'énergie en Côte d'Ivoire, Liberia, Sierra Leone et en Guinée notamment. «L'accès limité aux services d'électricité et le coût élevé de l'énergie constituent des obstacles majeurs à la croissance économique et à la stabilité», a déclaré Djamal Saghir, directeur de la Banque mondiale pour le développement durable dans la région de l'Afrique. Selon lui, ces projets «permettront d'intégrer les systèmes d'électricité, d'augmenter l'approvisionnement en électricité et d'améliorer la fiabilité du système». En collaboration avec le Banque africaine de développement (BAD), la Banque européenne d'investissement (BEI) et les gouvernements de ces 4 pays africains, un premier projet permettra de financer l'infrastructure de l'interconnexion entre ces pays sur une longueur de 1.350 km, ainsi que la réhabilitation et l'expansion de leur système d'alimentation électrique actuel. Pour satisfaire plus efficacement la demande croissante pour l'énergie, le second projet permettra de financer les études techniques. En outre, une subvention financera également les investissements nécessaires pour la distribution de l'électricité au Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Niger et au Togo.
Le constructeur automobile français Renault et les autorités algériennes ont signé vendredi dernier un accord-cadre pour la réalisation d'une usine de véhicules de cette marque en Algérie, mais les négociations se poursuivent en vue d'un accord final, a indiqué à l'APS une source de la direction de Renault à Paris. Des négociations entre Renault et les autorités algériennes concernées pour la construction d'une usine automobile en Algérie ont commencé il y a environ deux ans avec pour objectif la production de 75.000 voitures par an, avant une montée progressive en cadence pour atteindre à terme 150.000 unités annuellement, dont une partie serait destinée à l'exportation. Le premier véhicule doit sortir des chaînes de montage 18 mois après la signature de l'accord final, selon les premières indications. Au nombre des points de désaccord qui ont retardé la conclusion rapide d'un accord définitif, le ministre algérien de l'Industrie, Mohamed Benmeradi, avait cité, le 25 avril dernier à Alger, celui du refus de Renault d'implanter son usine sur le site choisi par les Algériens, pour des considérations d'équilibre de développement régional, en l'occurrence à Bellara (Jijel). «Les discussions ont pris plus de temps que prévu. Le partenaire étranger a considéré que le lieu proposé pour l'implantation de l'usine est loin du bassin de l'emploi et qu'il n'offrait pas les opportunités nécessaires», avait précisé le ministre, tout en indiquant que les négociations se poursuivaient sur l'ensemble du projet. Mais selon la source de la DG de Renault interrogée ce vendredi dans la capitale française, le problème du lieu d'implantation de la future usine ne semble plus être une préoccupation majeure du côté du constructeur.
Réalisation de projets
énergétiques en Afrique
La Banque mondiale accorde 176 millions de dollars
Le Conseil d'administration de la Banque mondiale a approuvé jeudi un financement de 176 millions de dollars destiné à deux projets énergétiques dans plusieurs pays africains. Cette enveloppe se compose d'un crédit sans intérêt de 144,5 millions de dollars et d'une subvention de 31,5 millions de dollars pour le financement du ''Pool énergétique ouest africain'' (WAPP), un programme visant à accroître l'approvisionnement en électricité et à réduire le coût de l'énergie en Côte d'Ivoire, Liberia, Sierra Leone et en Guinée notamment. «L'accès limité aux services d'électricité et le coût élevé de l'énergie constituent des obstacles majeurs à la croissance économique et à la stabilité», a déclaré Djamal Saghir, directeur de la Banque mondiale pour le développement durable dans la région de l'Afrique. Selon lui, ces projets «permettront d'intégrer les systèmes d'électricité, d'augmenter l'approvisionnement en électricité et d'améliorer la fiabilité du système». En collaboration avec le Banque africaine de développement (BAD), la Banque européenne d'investissement (BEI) et les gouvernements de ces 4 pays africains, un premier projet permettra de financer l'infrastructure de l'interconnexion entre ces pays sur une longueur de 1.350 km, ainsi que la réhabilitation et l'expansion de leur système d'alimentation électrique actuel. Pour satisfaire plus efficacement la demande croissante pour l'énergie, le second projet permettra de financer les études techniques. En outre, une subvention financera également les investissements nécessaires pour la distribution de l'électricité au Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Niger et au Togo.


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