Algérie

Sidi Saïd interpellé Fédération des retraités de Tizi-Ouzou


Sidi Saïd interpellé                                    Fédération des retraités de Tizi-Ouzou
Madjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens, a été interpellé, hier, par le comité syndical de la wilaya de Tizi-Ouzou de la Fédération nationale des travailleurs retraités. Les concernés demandent à Sidi Saïd de tenir ses promesses à l'égard des retraités et de «ne plus tolérer que cette frange de la société continue d'être traitée comme quantité négligeable .
Le comité de Tizi-Ouzou de la Fédération des retraités a exprimé son «profond mécontentement et la colère des retraités». Il relève, encore une fois, «le mépris opposé par les pouvoirs publics à leurs revendications légitimes, usant de man'uvres dilatoires pour gagner du temps sur le dos des retraités».
Le comité en question s'interroge sur «le laxisme affiché à l'égard du patronat dont toutes les exigences ont été satisfaites, au moment où toutes les revendications de retraités viennent d'être reportées aux calendes grecques».
«Nous déplorons les termes utilisés par M. le Premier ministre qui promet de régler le problème des retraités au nom de la solidarité en dégageant une solution raisonnable et appropriée à cette question, comme s'il s'agissait de faire l'aumône aux retraités alors que les travailleurs actifs, tous secteurs confondus, se voient gratifier de taux d'augmentation de 50, 80 et 100%, sans poser la question de la source de financement», ajoute-t-on. Les retraités de la wilaya de Tizi-Ouzou, à travers leur fédération UGTA, exigent l'organisation d'une réunion urgente de la CEF, en vue de décider d'une action concertée et cordonnée à l'échelle nationale, de nature à faire pression sur les pouvoirs publics pour mettre un terme à la précarité des retraités. Enfin, le comité syndical de wilaya de la Fédération nationale des travailleurs retraités (rattachée à l'UGTA) conclut : «Faute d'un règlement rapide de leurs problèmes, les retraités de la wilaya de Tizi-Ouzou sont fermement décidés à sortir dans la rue pour faire entendre leur voix et crier leur colère.»
Madjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens, a été interpellé, hier, par le comité syndical de la wilaya de Tizi-Ouzou de la Fédération nationale des travailleurs retraités. Les concernés demandent à Sidi Saïd de tenir ses promesses à l'égard des retraités et de «ne plus tolérer que cette frange de la société continue d'être traitée comme quantité négligeable .
Le comité de Tizi-Ouzou de la Fédération des retraités a exprimé son «profond mécontentement et la colère des retraités». Il relève, encore une fois, «le mépris opposé par les pouvoirs publics à leurs revendications légitimes, usant de man'uvres dilatoires pour gagner du temps sur le dos des retraités».
Le comité en question s'interroge sur «le laxisme affiché à l'égard du patronat dont toutes les exigences ont été satisfaites, au moment où toutes les revendications de retraités viennent d'être reportées aux calendes grecques».
«Nous déplorons les termes utilisés par M. le Premier ministre qui promet de régler le problème des retraités au nom de la solidarité en dégageant une solution raisonnable et appropriée à cette question, comme s'il s'agissait de faire l'aumône aux retraités alors que les travailleurs actifs, tous secteurs confondus, se voient gratifier de taux d'augmentation de 50, 80 et 100%, sans poser la question de la source de financement», ajoute-t-on. Les retraités de la wilaya de Tizi-Ouzou, à travers leur fédération UGTA, exigent l'organisation d'une réunion urgente de la CEF, en vue de décider d'une action concertée et cordonnée à l'échelle nationale, de nature à faire pression sur les pouvoirs publics pour mettre un terme à la précarité des retraités. Enfin, le comité syndical de wilaya de la Fédération nationale des travailleurs retraités (rattachée à l'UGTA) conclut : «Faute d'un règlement rapide de leurs problèmes, les retraités de la wilaya de Tizi-Ouzou sont fermement décidés à sortir dans la rue pour faire entendre leur voix et crier leur colère.»
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