Quand on emprunte, à pied ou en voiture, la route qui mène du quartier de
Sidi El Houari à la Pêcherie d'Oran, ex rue Charles Quint, on ne peut que
remarquer une carence d'envergure au niveau du trottoir.
Effectivement, tout au long de cette route, un petit trottoir, défoncé,
poussiéreux et empli de cailloux, est aménagé aux passants. Un trottoir, en
somme, à l'image de bon nombre qu'on peut trouver à la périphérie oranaise et
qui ont besoin d'être retapés. Or, pour celui-là précisément, celui qui relaie
Sidi El Houari à la Pêcherie, il a un petit «plus» : sans doute dû à un
affaissement, une petite partie de ce trottoir n'existe carrément plus. Et pour
ne rien arranger, un fossé, certes pas très profond, se trouve de l'autre côté.
Et pour enfoncer le clou la rambarde de protection est inexistante également.
De ce fait, cette route devient donc très dangereuse et pour les passants et
pour les conducteurs.
Si d'aventure un passant n'a pas le réflexe, au passage de ce fossé, de
traverser de l'autre côté, il se verra dans l'obligation de marcher sur la
chaussée. Idem pour les automobilistes de nuit qui, pour peu que la lumière
soit quelque peu défaillante, ont des chances de se précipiter dans le fossé.
C'est pour cette raison qu'il est urgent, pour les autorités locales, de
réhabiliter la partie endommagée de cette route. Il y va de la sécurité de tous
ceux qui l'empruntent.
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Posté Le : 06/02/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : El Kébir A
Source : www.lequotidien-oran.com