L'éclairage public ne fait pas l'unanimité
à Sidi-Bel-Abbès, notamment dans les quartiers populaires. Et si l'extension de
la ville est une réalité, cela ne justifie nullement ce qui est considéré comme
du «laisser-aller» par des habitants mécontents.
Même des artères du centre-ville, à l'image de l'ex-avenue Kléber,
n'échappe pas à ce regrettable constat d'une cité mal éclairée. C'est le même
spectacle au niveau de la principale rue feu Kaabi. Il y a quelque temps,
l'artère parallèle au principal boulevard de la République, derrière la plus
grande mosquée de la ville, Aboubekr Essedik, était plongée dans l'obscurité
totale. On affirme souvent que des instructions fermes, objet de suivi par les
pouvoirs publics, sont régulièrement données. Mais le constat est là, en
parallèle avec les problèmes d'hygiène, l'état de la voirie, le commerce
informel...
Posté Le : 19/01/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : M Kadiri
Source : www.lequotidien-oran.com