Si généralement toute pluie est la
bienvenue surtout dans les périodes hivernales et autres, il y en a ceux qui
redoutent malheureusement ces aspects-là de la nature et de la clémence divine.
Parmi eux les riverains de la trémie de Sidi Djillali, au nord-est du
chef-lieu, et notamment les automobilistes fort nombreux contraints à transiter
par cet ouvrage d'art qui n'a pas fini d'en faire parler de lui.
Même en ces journées ensoleillées de
janvier 2011, vu que les craintes légitimes remontent vite en surface au
moindre petit orage et à la moindre averse. Pourtant l'on a entendu parler
d'une expertise que devait entreprendre la DTP locale il y a plusieurs années
déjà. La trémie réalisée dans les années 2002-2003 est très redoutée par les
passants, nous voulons dire les automobilistes, car des anomalies subsistent et
font craindre le pire.
C'est un problème éternel de curage des
avaloirs, indiquent certaines sources parmi les habitants des cités
avoisinantes. Par moments, suit-on, plusieurs structures locales se rejètent la
balle, parfois c'est l'APC qui a omis de faire des opérations de curage.
D'autres rétorqueront que la situation de la trémie a beaucoup empiré avec le
va-et-vient quotidien des trains Bel-Abbès - Oran, Tlemcen… d'où cette pression
sur cet ouvrage qui risque, disent-ils, de provoquer l'irréparable. C'est du
moins ce qui se dit dans les alentours de la cité des 144 logements, en proie
cycliquement à des aléas dont on a fait tout récemment part à nos lecteurs.
C'est la 1ère cité formule LSP dénommée Hanifi Bachir que préside un cadre
dévoué et qui a interpellé plus d'une fois qui de droit, au sujet des constats
hideux relevés dans les parages. Toutefois le sentiment partagé en cet espace
sensible qu'est la trémie est la crainte de tous les citoyens, sans aucune
exception. Il y va de la préservation des vies humaines, conclurons-nous au
sujet de cette 1ère trémie de Sidi Djillali.
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Posté Le : 16/01/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : M Kadiri
Source : www.lequotidien-oran.com