Algérie

SIDI BEL ABBÈS Siège de l'APC et annexes paralysés par un mouvement de grève



Dans la journée de lundi dernier, quelque 200 travailleurs du siège de l'APC et de toutes les annexes ont paralysé les administrations pendant plus de deux heures en réponse à l'appel de leur syndicat (UGTA), et ce, en observant un sit-in devant le siège de l'APC pour réclamer leur rappel des primes de rendement et primes de scolarité depuis 2010 à ce jour.
Les travailleurs exigent leur versement ajoutant qu'un accord a été signé entre le syndicat et l'administration qui indiquait comme date butoir fin septembre 2011 alors que ces primes étaient attendues en janvier 2011. Face à la contestation qui a entraîné l'arrêt de tous les services, notamment celui de l'état civil, le P/APC a tenté de désamorcer la crise en promettant de règler avant la mi-octobre toutes les primes dues. Après bien des palabres entre le syndicat et le P/APC, à qui les travailleurs reprochent le manque de communication, les grévistes ont finalement repris leur travail en attendant les suites de leur action Il y a lieu de noter que le mouvement de grève qui n'a duré que 2 heures a fortement perturbé les administrations face à la grogne des citoyens venus se faire délivrer des documents administratifs.
A. M.
VOL D'UN LOT DE BIJOUX DE 200 MILLIONS DE CENTIMES
Trois personnes arrêtées
La 9e Sûreté de Sidi Bel Abbès a dernièrement élucidé une affaire de vol d'un domicile sis à Madina Mounaouara, à Sidi Bel Abbès, d'un lot de bijoux évalué à 200 millions de centimes, commis en août dernier. Trois personnes ont été arrêtées. Il s'agit d'un voisin de la victime, âgée de 19 ans, qui a déclaré avoir commis son forfait en passant par le domicile mitoyen des deux autres accusés. Le voleur a subtilisé du domicile en question, dont les propriétaires étaient absents, un lot de bijoux d'une valeur de 200 millions de centimes. Après un interrogatoire serré, les policiers sont parvenus à récupérer une partie du butin. Le principal mis en cause a été écroué, et ses deux voisins ont bénéficié de la liberté provisoire.


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