Le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, est agacé par la valse des entraîneurs qui sévit dans le championnat national et il tient à mettre un terme à ce phénomène.«Il est dommage de se séparer d'un entraîneur au bout de trois matchs. Je condamne cette forme de gestion des ressources humaines. En réalité, trop de présidents cèdent à la pression de la rue et c'est une réalité que la Chambre de la résolution des litiges va prendre en considération. À l'avenir, si un club décide de limoger un technicien, il devra lui payer l'intégralité de son contrat. Cela fera peut-être réfléchir et poussera les clubs à assumer leurs choix», a fait savoir Raouraoua dans l'entretien accordé à Jeune Afrique.
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Posté Le : 06/12/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L B
Source : www.letempsdz.com