Algérie

Selon le Dr Bensenouci El Ghouti, Des monuments de Tlemcen risquent d’être transfigurés par la restauration



Selon le Dr Bensenouci El Ghouti, Des monuments de Tlemcen risquent d’être transfigurés par la restauration
Non convaincu des normes en usage dans les travaux de restauration en cours sur différents sites à travers la wilaya de Tlemcen, le Dr Benssenouci El Ghouti, spécialiste en architecture et auteur de plusieurs ouvrages sur le patrimoine architectural, réagit. Se confiant à La Tribune, il précisera que le constat inquiétant du risque de voir les monuments transfigurés par ces restaurations est à l’origine de cette réaction.Notre interlocuteur notera que l’ampleur de l’application des enduits et peintures sur des subjectiles architecturaux durant ces dernières années est sans précédent, aussi bien par le nombre que par l’extrémisme des méthodes employées qui vont de
l’inadéquat jusqu’à l’irresponsabilité totale. L’on assiste à des opérations inadaptées, fera-t-il remarquer, sous la direction et l’orientation d’entreprises de restauration, plus soucieuses des exigences du calendrier de leurs réalisations temporaires que de la qualité du travail rendu sur les œuvres. «Cette inquiétude s’en trouve d’autant plus justifiée que le rythme des interventions s’est accru avec l’élection de la ville de Tlemcen comme capitale de la culture islamique pour l’année 2011.» Dans le même temps, a-t-il poursuivi, des chercheurs spécialisés et des associations publient, coup sur coup, des articles dénonçant ces restaurations hasardeuses, voire franchement inopportunes. Il ne s’agit que de quelques exemples, mais ils suffisent à jeter le trouble sur le monde feutré des ateliers de restauration et à inciter à une sérieuse réflexion sur l’importance de la couleur dans la préservation de l’identité du patrimoine architectural.

Un trésor patrimonial
Tlemcen, célèbre cité millénaire du Nord-Ouest algérien, véritable musée à ciel ouvert du patrimoine architectural et archéologique d’importance nationale et universelle, est, selon le Dr Bensenouci, une des villes les plus fascinantes de la région du Maghreb et de l’ouest de la Méditerranée. Par ses vestiges des siècles obscurs qui avaient précédé l’islam, par ses monuments de l’époque médiévale dont la richesse artistique fait d’elle l’une des cimes suprêmes de l’art hispano-mauresque, par l’histoire de ses habitants dont les origines remontent au Moyen- Age, l’histoire de la ville de Tlemcen plonge dans un passé fabuleux et vénérable où les humanités semblent s’entrecroiser au-delà de tout usage consignataire. Avec ses mosquées, ses murailles, ses maisons médiévales, ses bassins, ses sites archéologiques aussi nombreux que différents, Tlemcen est un véritable musée islamique.«En fait, la capitale de
Yaghmoracène offrira toujours un décor intéressant pour qui aura deviné que son originalité vaut plus qu’un voyage de courte durée. Avec sa grande densité historique et au-delà des images directes, cette cité nous révèle une civilisation bien riche à travers ses ensembles architecturaux qui constituent quelques-uns des vestiges les plus marquants de l’école hispano-mauresque du bassin occidental de l’islam, et ses vieux souks qui portent obstinément leurs longs siècles d’existence», explique-t-il, soutenant que l’identité architecturale de Tlemcen, comme les cités d’antan, repose en grande partie sur la présence de motifs vernaculaires de qualité. Ceux-ci marquent souvent des époques et des usages distincts et constituent, en ce sens, son patrimoine architectural qui présente, aujourd’hui, des enjeux capitaux de réhabilitation et de restauration.«En réalité, que s’est-il passé au cours des années écoulées qui puisse, à ce point, donner le sentiment qu’on a “laissé faire” ? Simplement, nous vivons, depuis les deux dernières décennies du XXe siècle, une époque particulièrement précaire pour le domaine de l’esthétique. Les nouveaux outils fournis par la science, dans le domaine de l’art comme dans bien d’autres domaines, peuvent soit nous aider à protéger et à améliorer la vie, soit détruire notre héritage et compromettre l’avenir», notera le Dr Bensenouci.

Les secrets de la couleur
Notre interlocuteur n’a pas manqué de signaler que pour «le patrimoine bâti comme tout le mobilier archéologique, chaque fois que la main de l’homme fait œuvre de création, se pose la question de la pérennisation de cette œuvre : lorsqu’un péril la guette, faut-il la conserver en l’état, au risque de la voir disparaître ou, au contraire, la restaurer, avec comme corollaire la crainte que l’œuvre restituée n’ait plus qu’une lointaine parenté avec l’œuvre originale ?». Car toute restauration est, par définition, destruction.Le spécialiste précisera que la couleur en architecture a une géographie propre, déterminée en partie par les nuances qui prédominent dans le paysage local et en partie par les traditions culturelles. «Les particularismes architecturaux de chaque région sont évidents et riches. On les remarque autant dans la gamme chromatique choisie que dans la forme et la dimension des constructions. Chaque pays, chaque ville a sa propre palette qui en constitue le thème chromatique dominant et que l’on doit parfois à des générations de bâtisseurs. Les quartiers les plus anciens de la Médina de Tlemcen sont dominés par les couleurs du pisé ; celles-ci vont du beige au brun, en passant par des jaunes d’or éclatants.» L’emploi de matériaux (de construction ou de décor) locaux, tient-il à préciser, aide souvent à créer une harmonie entre un bâtiment et son paysage. D’autres couleurs sont spécifiques à des traditions historiques, notamment dans la civilisation islamique. «Cette dernière a une place particulièrement étincelante dans l’histoire de l’art ; la preuve est dans tout le patrimoine architectural représenté par les mosquées, les palais et les trésors artistiques qu’ils contiennent, que ce soit des sculptures gravées sur les murs, des ornements sur les frises ou des chefs-d’œuvre splendides de beauté.»Le Dr Bensenouci indiquera, par ailleurs, que l’art est une institution sociale qui accompagne l’être et la société par le biais de la religion, la morale et l’économie. «C’est aussi une branche de la culture qui a une marge d’influence plus grande que les autres inventions, car l’art est une langue qui s’adresse autant aux sentiments qu’aux esprits. Il est le reflet de la vie économique et sociale et le pilier essentiel de toute civilisation.» Poursuivant ses analyses, l’architecte dira que l’univers des lettres et des couleurs a ouvert à l’artiste tlemcénien les portes de l’absolu, de ces magnifiques espaces pleins de signes et de symboliques, le confortant davantage dans l’assimilation des affluents culturels et humains. «A sa manière, il y assemble formes et couleurs et y renouvelle, de temps à autre, les moyens d’expression sur la base de techniques chromatiques et de composantes subjectives dans une tentative de suivre les réalisations de la forme, tant au niveau de l’esthétique que du contenu. De la sorte, la couleur acquiert son importance avant de faire son entrée dans le paysage architectonique. Elle constitue l’un des constituants les plus fertiles et les plus interactifs, vu son lien dialectique inéluctable avec l’aspect distinctif de la forme. Sans couleur, il nous est impossible de comprendre réellement ce qu’est la forme. La relation esthétique entre forme et peinture n’est donc pas fortuite ou étrangère aux critères modernes. C’est un lien intime prescrit par l’exigence de l’art», dira-t-il.

Restauration et savoirs
Abordant la présence artistique de la couleur dans la toile architecturale qui reflète un état d’unité psychologique et conceptuelle, notre interlocuteur dira que «la couleur dépasse sa dimension formelle pour contenir une capacité d’expression extrême. Le pouvoir de la couleur représente de la sorte une carte d’interprétation suprême capable d’assimiler tous les langages vivants lorsque celle-ci est utilisée pour donner à l’architecture une dimension sémantique qui dépasse les frontières de la forme chromatique, avec tout ce qu’elle porte en elle comme potentiel de créativité, inimitabilité et lumière sublime. Ainsi donc, une peinture - comme toute autre disposition de l’art - doit être comprise avant d’être restaurée. L’étude et la réflexion sont les préliminaires essentiels avant l’action de restauration. Mieux, elles remplacent parfois l’action. Les pigments utilisés pour créer les couleurs, le liant employé pour les amalgamer et les techniques employées pour créer une image à partir de ces matériaux, structurent la vision de l’artisan. A mon avis, il est impossible de dissocier l’intention picturale de l’artiste des moyens qu’il a employés. Cette interaction de la technique et du style a été trop longtemps négligée par les historiens d’art. Pis, il y a eu inévitablement perte sèche des savoirs traditionnels car les écoles d’architecture avaient renoncé étourdiment à dispenser (conjointement avec le savoir-faire moderne) un enseignement pratique puisant dans les rétrotechniques de la spécificité régionale. En conséquence, maintes techniques - parmi les plus subtiles - utilisées il y a des siècles, se sont perdues. Toutefois, quelques rares artistes, dans des applications individuelles, essaient laborieusement de les redécouvrir, mais les produits industriels de masse, synthétiques et simulés, ont pris le dessus». Pour la restauration, l’importance de ces savoirs est considérable, a-t-il expliqué. «Le risque existe, par exemple, que nos restaurateurs - avec des solvants qui le dessèchent - peuvent laisser s’échapper le «sang» du revêtement et recouvrir le reste de ces vernis artificiels, mats et anachroniques. Il paraît évident, aujourd’hui, que le restaurateur devrait être à la croisée des chemins entre le scientifique, l’artiste et l’historien d’art. Trop longtemps, on a souffert de l’incompréhension - pour ne pas dire du dédain mutuel - entre les restaurateurs, traités comme simples techniciens et les historiens d’art, souvent étonnamment peu familiarisés avec la structure matérielle des œuvres. Fort de cette double vision, le restaurateur pourra seulement aborder, dans de meilleures conditions, ce face-à-face entre l’ouvrage et lui, entre l’ouvrage et sa conscience. La solution ne se trouve probablement pas dans un moins de science, mais dans une science mieux comprise, appliquée avec plus de retenue et mieux éclairée par le regard de l’historien d’art», explique notre spécialiste.

Ratages et manquements
Bensenouci El Ghaouti ajoutera qu’en moins d’un siècle, le dialogue entre l’art et la science s’est instauré à la faveur du progrès technologique. Rayons X, microscopes électroniques, accélérateurs de particules, chromatographes, fraisage numérique, utilisation de la numérisation, etc. Tous ces instruments font inévitablement partie aujourd’hui de la trousse à outils des restaurateurs. En effet, la science a ouvert de nouveaux champs d’investigation pour la connaissance de cette dimension chromatique qui reste, de façon malheureuse, fort manquée dans la restauration des œuvres du patrimoine architectural de la région de Tlemcen. «Nous n’invoquerons, à ce propos, que quelques exemples parmi les plus néfastes : les donjons idrisides d’Agadir, Bâb Al Kermadîne (une entrée monumentale de l’époque almoravide), la mosquée et les remparts mérinides de Mansoura, les remparts français de l’époque coloniale. Tous ont bénéficié de ces onguents qui usent du matériau miracle et effacent la mémoire ou singulièrement la trahissent. Mais il est évident que l’infidélité technique la plus spectaculaire aura été celle du minaret de la Grande Mosquée, une magnifique tour de facture ziyanide», déplore le docteur. «Ce célèbre monument, dont l’importance historique et architecturale n’est plus à démontrer, vient de subir un toilettage de la meilleure trempe. Symbole visuel de la cité, emblème d’une des plus glorieuses époques de la ville de Tlemcen - comme la Tour Eiffel à Paris ou la statue de la Liberté à New York – et porteur d’une architectonique authentique autant que valorisante, il a perdu ses couleurs et, de ce fait, est devenu méconnaissable», se désole-t-il.Au Maghreb, ajoutera notre interlocuteur, le plus ancien minaret est celui de la Grande Mosquée de Kairouan en Tunisie. Sa construction, probablement commencée dès le début du VIIIe siècle, date dans son état actuel de la première moitié du IXe siècle (vers 836). Son architecture aux allures de
tour-forteresse, qui s’impose tant par ses murs massifs de couleur ocre que par ses contours aux pleins angles, fait de lui un modèle des minarets de l’Occident musulman, aussi bien en Afrique du Nord qu’en Andalousie. «D’un point de vue esthétique et monumental, les Almohades viendront, plus tard, apporter une touche remarquablement gratifiante à cet “art des deux rives”, dont les Almoravides avaient ordonné les fondements un siècle plus tôt. La place occupée par les condisciples d’Abd-El-Moumène dans l’histoire de l’art musulman est, en effet, des plus éminentes et les monuments incomparables de Marrakech, Rabat et Séville sont là pour attester l’ampleur de leurs vues et la finesse de leur goût. L’architecture des Almohades, dont le signe ostentatoire demeure essentiellement le minaret, est surtout fondatrice d’une tradition qui consacrera la symbiose des arts oriental et hispano-mauresque et qui s’accomplira essentiellement dans la production artistique de ceux qui leur succèderont, c’est-à-dire les Zianides de Tlemcen, les Mérinides de Fès et les Hafsides de Tunis. Sur des fondations constituées de dalles et de pierres, le corps de ce minaret est généralement fait de briques. L’agencement des murs extérieurs est consolidé dans la partie inférieure par des ouvertures en arcs lobés et arcs en fer à cheval et, à mi-hauteur, chaque pan de mur se divise en parties distinctes, où sont placées des fenêtres géminées superposées. Quant aux pans latéraux, ils sont subdivisés horizontalement et décorés à l’aide de briques assorties formant des losanges sur deux arcs aveugles, encadrés par des colonnes de marbre et de jaspe et des chapiteaux de style hybride occidental. En ce qui concerne les briques, elles étaient fabriquées à partir de trois composants : deux-tiers d’argile blanche, un tiers d’argile rouge et de l’eau. La pâte obtenue étant très liquide, des cendres de bois étaient utilisées pour protéger les briques lors de leur séchage au soleil. Elles étaient ensuite empilées et cuites dans des fours verticaux. La couleur de la brique obtenue dépendait ainsi de la durée de la cuisson et variait du rouge au vert en passant par le marron, le jaune sable et l’ocre qui était la couleur de référence.»

Un trésor à préserver
Il est vrai, selon le Dr Bensenouci, que le temps ronge inexorablement les biens historiques et que leur vieillissement est accéléré par des agents naturels tels que l’air, l’eau, le rayonnement ultraviolet croissant, ainsi que par l’acte humain, mais il est tout aussi vrai que les restaurateurs du terroir doivent réussir surtout à allier la satisfaction de ce besoin à la quête d’expression culturelle, et ce, dans le strict respect des principes de fonctionnalité, d’esthétique, de spiritualité et de moralité. «La couleur du bâti est un facteur environnemental essentiel puisqu’elle souligne la personnalité de la région, son originalité et sa différence : les couleurs des façades, des boiseries, des ferronneries, des toits pour les constructions anciennes comme pour les nouvelles doivent refléter celles de la région en les réactualisant et (peut-être) en les adaptant. L’approche physico-chimique, technique, historique, colorimétrique et muséographique est dès lors indispensable à l’étude de la couleur en sa qualité de composante essentielle du patrimoine bâti.
La recherche mobilise ainsi des moyens importants (de haute technologie et de compétences pluridisciplinaires) qui nécessitent des collaborations nouvelles.» Avec un glorieux passé, dira le Dr Bensenouci, Tlemcen est une cité dont le patrimoine culturel est énorme, un trésor aussi immense que menacé puisque sa conservation et la perpétuation des techniques de conception et de réalisation ont toujours fait défaut. Conscient de cette menace, l’Etat tente aujourd’hui de trouver les voies et moyens qui lui permettraient de faire face au défi en multipliant les initiatives de revalorisation des matériaux traditionnels, mais elles n’ont jamais comblé les attentes à ce niveau. Elles sont presque toutes restées au seuil de l’expérimentation. Peut-être, parce qu’elles n’ont jamais été traduites en véritables stratégies d’enseignement. «A vrai dire, il est à craindre pour qui visitera Tlemcen, aujourd’hui, qu’il ressente quelque humeur à vouloir confronter la réalité présente avec celle que colore le reflet des livres des chroniqueurs. Dans cette ville taillée et retaillée par des urbanistes indiscrets au gré de leurs lubies ou de leur impéritie, attaquée par le temps et l’ignorance des usages du monde, ce visiteur reconnaîtra mal la cité royale dont le sultan Abou-Tachfine avait fait l’un des plus beaux exemples de l’urbanisme médiéval. Incontestablement, il ressort d’un premier diagnostic que les différents acteurs intervenant dans la maîtrise d’œuvre concernant le patrimoine culturel (architectes, bureaux d’études et entreprises) ont un profil de formation et de qualification plutôt de généraliste que de spécialiste maîtrisant les techniques et les règles déontologiques régissant la restauration des sites culturels.

Objectif et démarche
Ce diagnostic fait ressortir particulièrement que cet aspect concernant la maîtrise d’œuvre dans le secteur du patrimoine bâti était une étape absente dans notre dispositif de protection jusqu’à la promulgation du décret exécutif n°03-322 du 5 octobre 2003, portant maîtrise d’œuvre relative aux biens culturels immobiliers protégés. Le point fragile de cette législation est notamment qu’elle ne prévoit aucune disposition particulière concernant les spécificités des entreprises appelées à intervenir dans le secteur et laisse en suspens la question de l’autorité chargée de délivrer les agréments nécessaires aux uns et aux autres.» Cela nous montre, confirme-t-il, combien est nécessaire l’inscription d’un tel dessein dans la correction de l’usage que l’on fait de cette épaisseur culturelle et civilisationnelle des couleurs. L’avantage de cette initiative serait qu’elle permette de sensibiliser l’opinion nationale sur l’importance de la dimension chromatique dans le paysage urbain et architectural et de rappeler quel est son impact réel sur l’efficacité des projets et programmes de conservation du patrimoine, car la couleur demeure, contre tout avis, cet épiderme de l’architecture. C’est elle qui, avec l’architecture extérieure, donne à la ville son caractère et son atmosphère générale puisque c’est elle que l’on perçoit en premier. «Depuis l’adoption par l’Unesco de la Convention du patrimoine mondial en 1972, plusieurs expériences ont démontré, partout dans le monde, l’intérêt économique à tirer de la valorisation du patrimoine culturel. La notion du patrimoine, qui s’est élargie du monument historique - isolé de son contexte - au site historique dans toutes ses dimensions spatiotemporelles et socioculturelles, est aujourd’hui devenue un outil déterminant dans les politiques du développement. D’ailleurs, face aux enjeux de la mondialisation, Tlemcen, avec ses ressources humaines et naturelles remarquables, et grâce notamment à sa position géostratégique privilégiée, prend une envergure économique et culturelle très importante. Les différents plans de développement réalisés (ou à venir) tendent en fait à en faire une mégapole à la mesure des défis sociaux et économiques du développement de la région.» En clôture, le Dr Bensenouci
affirmera que la nécessité de protéger et transmettre le patrimoine - héritage culturel défini comme «bien commun»- est devenue de nos jours une idée largement répandue parmi les décideurs. Tout responsable urbain semble désormais persuadé qu’en valorisant nos héritages architecturaux et urbanistiques, nous nous donnons les moyens de mieux préparer l’avenir.



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