Algérie

Sellal et Ayrault visitent à Oran la cimenterie Lafarge, l'usine Renault et le tramway



Sellal et Ayrault visitent à Oran la cimenterie Lafarge, l'usine Renault et le tramway
Le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, est arrivé, hier, à Oran au troisième jour de sa visite officielle en Algérie, à l'occasion de la tenue du premier comité intergouvernemental de haut niveau.Le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, est arrivé, hier, à Oran au troisième jour de sa visite officielle en Algérie, à l'occasion de la tenue du premier comité intergouvernemental de haut niveau.Il a été accueilli à l?aéroport international d?Oran Ahmed Ben Bella, par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. Premier point de la halte des deux délégations : la cimenterie, un investissement du groupe français Lafarge, de la région d?Oggaz, dans la wilaya de Mascara.Les deux Premiers ministres ont visité les différentes parties de cette installation et suivi les explications données notamment au sujet de la protection de l?environnement et de la récupération des déchets. Dans ce contexte, Abdelmalek Sellal a suggéré aux responsables de l?usine l?utilisation des déchets de la station de dessalement d?eau de mer de la wilaya voisine de Mostaganem, dans la fourniture d?une partie de l?énergie utilisée par la cimenterie.Cette unité industrielle a créé un nombre appréciable de postes d?emploi et participe à une bonne partie de la demande de la région en ciment. L?usine a généré 590 postes d?emploi directs et 600 autres indirects contribuant aussi à la formation de la main d??uvre et accordant un intérêt à la formation continue à travers l?école de santé et de sécurité implantée sur site.Selon les données communiquées par les responsables de l?usine, celle-ci a contribué, ces dernières années, à la couverture de 15 % des besoins du marché national par une production dépassant 3 millions de tonnes/an et à l?exportation entre 50.000 et 100.000 tonnes de ciment blanc. Il est à souligner que l?unité de production de ciment implantée au nord de la wilaya de Mascara non loin des ports d?Oran et de Mostaganem, s?est lancée dans la production du ciment blanc et gris, respectivement en 2007 et 2008.Les responsables de la cimenterie ont annoncé un investissement de 3 milliards DA depuis 2008 dans le cadre du développement et de l?augmentation de la production. En outre, la cimenterie Lafarge accorde en outre une importance au volet protection de l?environnement. Elle est la première usine de ciment qui récupère ses déchets, réduit la quantité de poussière émanant de ses unités et adopte l?économie d?eau.Elle compte se lancer, dans les prochaines semaines, dans l?incinération des déchets. Le cortège ministériel s?est dirigé peu après à la localité d?Oued-Tlélat pour une visite au chantier de l?usine de montage de véhicules «Renault Algérie». La construction de l?usine Renault-Algérie met en partenariat la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) et le Fonds national d?investissement (FNI), côté algérien, et la marque au losange, côté français.La partie actionnaire algérienne est majoritaire dans ce partenariat (51%) qui a donné naissance à la société mixte Renault-Algérie Production (RAP) afin d?assurer la mise en ?uvre de cet important investissement. La sortie de la première voiture Renault-Algérie de l?usine d?Oued Tlélat est prévue en novembre 2014, avec un volume initial de production fixé à 25.000 véhicules/an et qui sera porté au triple à partir de 2019.La première phase générera à elle seule 350 emplois directs, avec intégration d?un tissu de sous-traitance local, tandis que d?autres compétences seront forgées en perspective de l?augmentation du rythme de production, et ce, à la faveur d?un programme de perfectionnement qui sera mis en ?uvre au niveau du Centre de formation professionnelle de Oued Tlélat.Le modèle de la marque au losange "made in Algeria" sera celui de la nouvelle "Symbol" qui aura une qualité égale, voire supérieure à celle produite dans d?autres pays, soutiennent les responsables de la société Renault-Algérie Production. Retour sur Oran où le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et son homologue français, Jean-Marc Ayrault, ont emprunté le tramway pour se rendre à la place du 1er Novembre 1954, au centre-ville d?Oran, à partir de la station Mosquée Ibn Badis, près de la cité Mahieddine.Durant le trajet, traversant plusieurs quartiers de la ville, MM. Sellal et Ayrault ont suivi les explications fournies par les responsables de la Setram, la société chargée de l?exploitation et de la maintenance des tramways en Algérie, sur les différentes étapes de la réalisation de ce projet, fruit d?une coopération algéro-française. Petit bain de foule pour Sellal et Ayrault à leur sortie de la rame du tramway et petite promenade pour les deux hommes le long du boulevard de l?ALN (ex-Front de mer), donnant sur la baie d?Oran.Il est à rappeler que la Setram, est née d?un accord entre l?ETUSA, l?Entreprise de métro d?Alger et le groupe français RATP. Plus de 4 millions de voyageurs ont emprunté le tramway depuis sa mise en service jusqu?à fin octobre dernier, avec une moyenne de plus de 20.000 titres vendus/jour, indique-t-on à la Setram. Ce moyen de transport dessert plusieurs quartiers d?Oran.Il est prévu trois extensions, côté ouest vers Haï Benarba, côté Sud vers l?aéroport international Ahmed Ben Bella (Es-Sénia) et côté Est vers le nouveau pôle universitaire de Belgaïd sont prévues. La distance totale du projet sera de 40 km.Il a été accueilli à l?aéroport international d?Oran Ahmed Ben Bella, par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. Premier point de la halte des deux délégations : la cimenterie, un investissement du groupe français Lafarge, de la région d?Oggaz, dans la wilaya de Mascara.Les deux Premiers ministres ont visité les différentes parties de cette installation et suivi les explications données notamment au sujet de la protection de l?environnement et de la récupération des déchets. Dans ce contexte, Abdelmalek Sellal a suggéré aux responsables de l?usine l?utilisation des déchets de la station de dessalement d?eau de mer de la wilaya voisine de Mostaganem, dans la fourniture d?une partie de l?énergie utilisée par la cimenterie.Cette unité industrielle a créé un nombre appréciable de postes d?emploi et participe à une bonne partie de la demande de la région en ciment. L?usine a généré 590 postes d?emploi directs et 600 autres indirects contribuant aussi à la formation de la main d??uvre et accordant un intérêt à la formation continue à travers l?école de santé et de sécurité implantée sur site.Selon les données communiquées par les responsables de l?usine, celle-ci a contribué, ces dernières années, à la couverture de 15 % des besoins du marché national par une production dépassant 3 millions de tonnes/an et à l?exportation entre 50.000 et 100.000 tonnes de ciment blanc. Il est à souligner que l?unité de production de ciment implantée au nord de la wilaya de Mascara non loin des ports d?Oran et de Mostaganem, s?est lancée dans la production du ciment blanc et gris, respectivement en 2007 et 2008.Les responsables de la cimenterie ont annoncé un investissement de 3 milliards DA depuis 2008 dans le cadre du développement et de l?augmentation de la production. En outre, la cimenterie Lafarge accorde en outre une importance au volet protection de l?environnement. Elle est la première usine de ciment qui récupère ses déchets, réduit la quantité de poussière émanant de ses unités et adopte l?économie d?eau.Elle compte se lancer, dans les prochaines semaines, dans l?incinération des déchets. Le cortège ministériel s?est dirigé peu après à la localité d?Oued-Tlélat pour une visite au chantier de l?usine de montage de véhicules «Renault Algérie». La construction de l?usine Renault-Algérie met en partenariat la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) et le Fonds national d?investissement (FNI), côté algérien, et la marque au losange, côté français.La partie actionnaire algérienne est majoritaire dans ce partenariat (51%) qui a donné naissance à la société mixte Renault-Algérie Production (RAP) afin d?assurer la mise en ?uvre de cet important investissement. La sortie de la première voiture Renault-Algérie de l?usine d?Oued Tlélat est prévue en novembre 2014, avec un volume initial de production fixé à 25.000 véhicules/an et qui sera porté au triple à partir de 2019.La première phase générera à elle seule 350 emplois directs, avec intégration d?un tissu de sous-traitance local, tandis que d?autres compétences seront forgées en perspective de l?augmentation du rythme de production, et ce, à la faveur d?un programme de perfectionnement qui sera mis en ?uvre au niveau du Centre de formation professionnelle de Oued Tlélat.Le modèle de la marque au losange "made in Algeria" sera celui de la nouvelle "Symbol" qui aura une qualité égale, voire supérieure à celle produite dans d?autres pays, soutiennent les responsables de la société Renault-Algérie Production. Retour sur Oran où le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et son homologue français, Jean-Marc Ayrault, ont emprunté le tramway pour se rendre à la place du 1er Novembre 1954, au centre-ville d?Oran, à partir de la station Mosquée Ibn Badis, près de la cité Mahieddine.Durant le trajet, traversant plusieurs quartiers de la ville, MM. Sellal et Ayrault ont suivi les explications fournies par les responsables de la Setram, la société chargée de l?exploitation et de la maintenance des tramways en Algérie, sur les différentes étapes de la réalisation de ce projet, fruit d?une coopération algéro-française. Petit bain de foule pour Sellal et Ayrault à leur sortie de la rame du tramway et petite promenade pour les deux hommes le long du boulevard de l?ALN (ex-Front de mer), donnant sur la baie d?Oran.Il est à rappeler que la Setram, est née d?un accord entre l?ETUSA, l?Entreprise de métro d?Alger et le groupe français RATP. Plus de 4 millions de voyageurs ont emprunté le tramway depuis sa mise en service jusqu?à fin octobre dernier, avec une moyenne de plus de 20.000 titres vendus/jour, indique-t-on à la Setram. Ce moyen de transport dessert plusieurs quartiers d?Oran.Il est prévu trois extensions, côté ouest vers Haï Benarba, côté Sud vers l?aéroport international Ahmed Ben Bella (Es-Sénia) et côté Est vers le nouveau pôle universitaire de Belgaïd sont prévues. La distance totale du projet sera de 40 km.




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