Selon des parents d'élèves de l'école primaire Mohamed Meziani, située à
la cité de Sarkina, cet établissement scolaire se trouve dans un état
catastrophique.
Ainsi, les moyens de travail des enseignants (craie, salle de réunion,
etc.) sont quasi inexistants, les portes des classes sont dépourvues de passes
et de clefs, et pour certaines d'entre elles, complètement branlantes. Et nos
interlocuteurs de poursuivre que «les couloirs de l'établissement et certaines
des classes de cours sont dans un état lamentable, surtout à cause des
infiltrations des eaux pluviales. Mais les dégradations ne se limitent pas à
ces aspects, soulignent-ils, mais s'étendent également au mobilier scolaire
(chaises, tables et tableau) qui se trouve dans un état de détérioration avancé.
Bien sûr dans ces conditions, disent-ils, il est inutile de signaler
l'inexistence de cantines ni la surcharge des six classes de l'école qui a un
besoin impérieux d'une extension.
En effet, affirment-ils, à l'intérieur de l'école Mohamed Méziani, il
existe un espace assez important pouvant facilement permettre la construction
d'autres classes. Dans ce cadre, indiquent-ils, «nous avons déjà entrepris
auparavant plusieurs démarches auprès de l'APC, mais sans résultat palpable
pour l'instant». Cette dernière, questionnée, a répondu, par le biais de la
cellule de communication, qu'un vaste programme de prise en charge de plusieurs
écoles qui doivent être réparées est arrêté. Des avis d'appel d'offres de
réfection, de création de cantines et autres travaux seront lancés
incessamment.
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Posté Le : 09/03/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : A E A
Source : www.lequotidien-oran.com