Un monde où la paix se traduit par la guerre, l'exploitation, jusqu'au déni d'existence des peuples. Au sud comme désormais au nord et dans tous les cas de figure, ce sont les peuples qui sont en train de payer le prix des politiques insensées, monstrueuses, criminelles, élaborées à la City, à Washington ou à Tel-Aviv.Cela dit, après s'être attaquée aux pays du «Tiers-Monde», la Finance internationale a ciblé, avec les mêmes exigences, les Européens pourtant considérés comme évolués, et détenteurs d'un modèle envié dans le monde, dit «social». Il est désormais clair que méthodes et buts sont les mêmes, et après avoir racketté les pays en voie de développement, l'oligarchie a cette fois choisi de s'en prendre aux pays développés. Ainsi, les richesses des nations, des Etats, des peuples, des citoyens, doivent-elles être progressivement transférées dans les coffres-forts des plus nantis. Pas seulement les biens matériels, mais aussi les ressources, et autres... comme les îles grecques ! Ainsi, tous ceux qui s'opposent à ces exigences démentielles de l'Occident, sont traités de «populistes» ou de «dictateurs», comme le regretté Hugo Chavez. Le dirigeant du Vénézuela a toujours respecté le verdict populaire, et pourtant les médias aux ordres de l'oligarchie se sont évertués à le dépeindre sous les traits d'un dangereux dictateur, au mépris de la vérité la plus élémentaire. Et gare, aussi, aux non-alignés comme feu Kadhafi qui rêvait de soustraire les pays (et même le continent africain) aux fourches caudines des gangsters des grandes banques internationales ! Son désir de rendre autonomes les Africains, en abandonnant le dollar, lui a coûté la vie. Gare, aussi, à ceux qui refusent de se soumettre aux diktats de l'Occident de plus en plus totalitaire : comme Bachar Al Assad, soutenu par une grande partie de son pays! Un petit nombre d'individus décide de tout au détriment de l'intérêt public : mise en place d'Institutions internationales comme Banque mondiale ou FMI, ou d'entités censées défendre l'intérêt général ou la paix comme l'UE. Dans tous les cas, il s'agit seulement d'agir comme les vampires, de sucer le sang des peuples, ou autrement dit, de subtiliser le maximum de biens pour les transférer des poches des citoyens aux coffres-forts les plus cyniquement emplis. Guerres économiques d'accaparement des ressources, politiques d'ajustement structurel imposées aux pays en voie de développement ou mesures d'austérité exigées en Europe, procèdent toutes des mêmes objectifs et s'accompagnent des mêmes méthodes. Sur un autre plan, l'hégémonisme américain semble mener le monde vers le chaos. Outre les mesures coercitives et liberticides imposées à la société américaine, Obama and Co n'hésitent pas à agir où et comme bon leur semble comme si le monde leur était une propriété privée. Selon un article du New York Times, citant un rapport secret, «le président des Etats-Unis a le pouvoir légitime de lancer des cyber-attaques préventives en cas de menaces venant de l'étranger». Les menaces doivent être fondées sur des preuves solides. La Maison Blanche n'a pas confirmé les détails de ce rapport. Un responsable a toutefois indiqué que Barack Obama avait érigé des principes pour conduire des attaques de ce type en conformité avec la Constitution américaine et les lois internationales. (A suivre)
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Posté Le : 12/05/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : C A
Source : www.lnr-dz.com