Salles des fêtes
L?appréhension des gérants Apparemment, les cinq salles des fêtes, établies à Baraki, ne sont pas toutes au diapason avec les exigences de l?été, traditionnellement riche d?heureux événements familiaux. Mis à part la salle El Mordjane, les gérants des quatre autres trébuchent sous l?effet de nouvelles conditions requises par le règlement en vigueur.En premier lieu, il est exigé aux propriétaires et gérants de salles, la dotation en parking pour véhicules, des issues de secours et des modalités relatives à la sécurité du public.Pour cause, quelques nouvelles demandes d?ouverture de salles de fêtes, dans la ville de Baraki, ont été récemment rejetées par l?administration, tandis que les deux salles déjà existantes, à savoir Le Dauphin et la Petite, au vieux tissu urbain, sont menacées de fermeture.Pour la salle Zahra, ouverte depuis 2001, à la cité 2004 Logements, la situation tend vers l?amélioration, quoique les prix proposés par son gérant restent un peu élevés. Le propriétaire de la salle El Mordjane, quant à lui, a su convaincre les familles de toutes les catégories socioprofessionnelles. A cet effet, « deux salles (grande et moyenne) ont été mises à la disposition de différentes familles. » Au cours de l?été 2006, la salle El Mordjane a, en effet, pu attirer les familles de toute la région de la Mitidja, voire des wilayas limitrophes telles Médéa, Boumerdès et Blida, avec sa dotation d?un parc auto pour assurer le stationnement de 15 voitures. L?annulation des fêtes inquiète les gérants. Encore ces derniers appréhendent un été sans fête vu le pouvoir d?achat, faible pour une large partie de la population.
Posté Le : 01/07/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : E. Yazid
Source : www.elwatan.com