Algérie

Salle Ibn Khaldoun



Salle Ibn Khaldoun
Une prestation époustouflante, animée, vendredi à Alger, par la troupe féminine Samba de Rosa de musique brésilienne, a créé des passerelles d'échanges entre les cultures dans une belle fresque où les similitudes rythmiques avec l'Algérie étaient mises en valeur.Impatientes de fouler la scène de la salle Ibn Khaldoun et donner du bien-être au public venu nombreux, les six femmes de la troupe Samba de Rosa ont tenu à accompagner le groupe Nessma Flamenco qui s'est produit en ouverture, dans la dernière chanson inscrite à son programme, Yarrayeh, devenue tube planétaire du regretté Dahmane El Harrachi. Près de deux heures de pur plaisir ont permis aux musiciennes, heureuses d'être à Alger, de dérouler un programme riche et varié, évoquant l'amour, le quotidien, la beauté, la nature ainsi que quelques situations de vie pittoresques, qui prêtent au divertissement et à la drôlerie.«Nous sommes très heureuses d'être ici à Alger dans ce brassage de cultures qui n'a pas de frontières !», a déclaré Ana Guara Bara, une des chanteuses de la troupe s'adressant au public algérois, faisant également remarquer que «Samba, se lit et s'écrit au masculin au Brésil !» Parmi les compositions interprétées, Von Jongueira de Camila Costa et Viver Esser Feliz, les seules Françaises du groupe Véronique Lherm (Verioca) et Aurelie Tyszblat, qui a confié être «de mère algérienne, constatant de grandes similitudes entre l'Algérie et le Brésil dans les rythmes, notamment et aussi dans le style architectural et urbain».




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