Algérie

Sale temps pour Ouyahia



Les jours de Ahmed Ouyahia à la tête du secrétariat général du RND sont ils comptés ' Il y a tout lieu de le croire tant la fronde contre son leadership est en train de prendre de l'ampleurLes jours de Ahmed Ouyahia à la tête du secrétariat général du RND sont ils comptés ' Il y a tout lieu de le croire tant la fronde contre son leadership est en train de prendre de l'ampleur
A u e astdaténpjtàoduéistrséeé,dveénemrsiesflfpaeats,roqlreuti' PeO,réulsuyiidaqh eu niai t Bouteflika de ses fonctions de Premierministre le 11 mars dernier. En effet lesecrétaire général du RND est appeléà mettre la clé sous le paillasson.C'est ce qu'a indiqué, hier samedi, uncommuniqué signé par plus d'unecentaine de cadres, comprenant desministres, des membres du Conseil national et des députés et invitant parailleurs toutes les structures du parti àrallier leur cause.Les rédacteurs du document estimentqu'"Ouyahia est désormais rejetéavec force par le peuple". Et de porterl'estocade, accusant leur chef "d'avoirutilisé le RND à des fins inavouées et suspectes".
Et pour montrer leur détermination à concrétiser leur démarche les contestataires menacent d'occuperle siège national du parti sis à BenAknoun pour en déloger Ouyahia s'ilrefuse la tenue d'un Conseil nationalextraordinaire du parti. "Nous avonsenvoyé une lettre à Ouyahia pour luidemander de convoquer un conseilnational extraordinaire dans les meilleurs délais. S'il refuse, nous allonsoccuper le siège du parti. Nous avonsavec nous 100 membres du conseilnational sur 253", a martelé hierBelkacem Mellah, un farouche opposant à Ahmed Ouyahia. Selon lui, lescontestataires lui reprochent aussid'avoir rédigé le communiqué appelant à la démission de Bouteflika sansconsulter le conseil national. Ahmed Ouyahia a, il y a quelques jours, soutenu la proposition avancée par le chef d'état-major de l'armée, Ahmed GaidSalah, portant sur l'application de l'article 102 de la Constitution. Un article qui suppose, dans le cas où il est appliqué, la démission du Président Bouteflika.
La messe est dite ! En dépit de la réunion tenue dimanche dernier avec les secrétaires de wilaya de son parti auxquels il a pu arracher un soutien absolu, histoire de montrer qu'il en avait toujours la main, Ahmed Ouyahia semble plus que jamais surfer sur une lame de rasoir. Porté par le Président Bouteflika à la tête du Premier ministère, trois fois de suite et envers et contre tous, voilà Ouyahia dans une très mauvaise posture et il risque fort de faire partie desgrands perdants du mouvement populaire qui traverse le pays depuis le 22 février dernier. Autres temps, autresm?urs. Mais aussi, serions-nous tentés de dire, autres figures.
A u e astdaténpjtàoduéistrséeé,dveénemrsiesflfpaeats,roqlreuti' PeO,réulsuyiidaqh eu niai t Bouteflika de ses fonctions de Premierministre le 11 mars dernier. En effet lesecrétaire général du RND est appeléà mettre la clé sous le paillasson.C'est ce qu'a indiqué, hier samedi, uncommuniqué signé par plus d'unecentaine de cadres, comprenant desministres, des membres du Conseil national et des députés et invitant parailleurs toutes les structures du parti àrallier leur cause.Les rédacteurs du document estimentqu'"Ouyahia est désormais rejetéavec force par le peuple". Et de porterl'estocade, accusant leur chef "d'avoirutilisé le RND à des fins inavouées et suspectes".
Et pour montrer leur détermination à concrétiser leur démarche les contestataires menacent d'occuperle siège national du parti sis à BenAknoun pour en déloger Ouyahia s'ilrefuse la tenue d'un Conseil nationalextraordinaire du parti. "Nous avonsenvoyé une lettre à Ouyahia pour luidemander de convoquer un conseilnational extraordinaire dans les meilleurs délais. S'il refuse, nous allonsoccuper le siège du parti. Nous avonsavec nous 100 membres du conseilnational sur 253", a martelé hierBelkacem Mellah, un farouche opposant à Ahmed Ouyahia. Selon lui, lescontestataires lui reprochent aussid'avoir rédigé le communiqué appelant à la démission de Bouteflika sansconsulter le conseil national. Ahmed Ouyahia a, il y a quelques jours, soutenu la proposition avancée par le chef d'état-major de l'armée, Ahmed GaidSalah, portant sur l'application de l'article 102 de la Constitution. Un article qui suppose, dans le cas où il est appliqué, la démission du Président Bouteflika.
La messe est dite ! En dépit de la réunion tenue dimanche dernier avec les secrétaires de wilaya de son parti auxquels il a pu arracher un soutien absolu, histoire de montrer qu'il en avait toujours la main, Ahmed Ouyahia semble plus que jamais surfer sur une lame de rasoir. Porté par le Président Bouteflika à la tête du Premier ministère, trois fois de suite et envers et contre tous, voilà Ouyahia dans une très mauvaise posture et il risque fort de faire partie desgrands perdants du mouvement populaire qui traverse le pays depuis le 22 février dernier. Autres temps, autresm?urs. Mais aussi, serions-nous tentés de dire, autres figures.


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