Algérie

SAÏDA: Un plan pour fluidifier la circulation


SAÏDA: Un plan pour fluidifier la circulation
Le citoyen saïdéen attend depuis plus de trois (03) ans la mise en œuvre du nouveau plan de circulation qui puisse répondre aux besoins de déplacement des personnes et des marchandises à Saïda, est-il rappelé au siège de la radio locale ayant réuni, autour du plateau de l'émission hebdomadaire, le forum» de Omar Hichour, les intervenants techniques, le maître de l'ouvrage, APC de Saïda et la presse locale, en sus de représentants du mouvement associatif concernés. Présenté une première fois le 19/09/2009 par le bureau d'études algérois, le plan de circulation a été visionné et discuté huit (08) fois, la dernière en date du 11 octobre 2011, «une version qui occultait la nouvelle gare routière, point de convergence des usagers et source de nouveaux flux», ayant fait l'objet d'un rejet par le wali ayant insisté sur l'actualisation du PCU, le traitement des générateurs de flux et l'étude de l'impact de la périphérie sur la ville de Saïda. Le chef-lieu regorge de points noirs» par déficience d'aménagement et autres facteurs exogènes, est-il constaté, en sus de l'état déplorable du réseau urbain, de l'avis unanime des intervenants et usagers de la route. Le diagnostic actuel «n'étant plus celui de 2008» démontre le disfonctionnement flagrant de la circulation dû aux arrêts de stationnements anarchiques créant en divers endroits de la ville des goulots d'étranglement. Cette congestion importante du réseau urbain étouffe la ville qui a atteint une saturation latente. La solution résiderait dans la réalisation d'une nouvelle ville à implanter dans la partie Ouest vers Bel Abbès à partir du point de jonction avec la direction vers le Sud et une extension à partir de la nouvelle gare routière en direction du nord-ouest et jusqu'à Tifrit, fut-il suggéré par un correspondant de presse. Dans l'attente, des projets de réalisation d'une trémie au carrefour de Boukada, suspendus à cause du déplacement tardif du réseau Sonelgaz, d'utilisation de la voie ferrée existante pour le tramway futur reliant Aïn el Hadjar à Sidi Boubekeur, sont maturés. «Nous voulons du concret sur le terrain et non des projections stériles», dira l'animateur, relayé par le chef de bureau d'un quotidien : «Donnons l'opportunité aux intellectuels et aux universitaires en lieu et place d'opportunistes sinon, mettons fin aux facultés et à la recherche afin de bousculer le temps».
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