Attaquée sur les réseaux sociaux et accusée de soutenir le patron de Cevital, Issad Rebrab, la présidente de la Confédération algérienne des entrepreneurs algériens (CGEA), Saïda Neghza, a répondu à ses détracteurs et accuse la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC), ex-FCE (Forum des chefs d'entreprise) d'être la "Issaba".Attaquée sur les réseaux sociaux et accusée de soutenir le patron de Cevital, Issad Rebrab, la présidente de la Confédération algérienne des entrepreneurs algériens (CGEA), Saïda Neghza, a répondu à ses détracteurs et accuse la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC), ex-FCE (Forum des chefs d'entreprise) d'être la "Issaba".
Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, Saïda Neghza, a énuméré ses sorties sur le terrain dans différentes wilayas du pays durant lesquelles elle est allée à la rencontre des entrepreneurs, visiter leurs investissements et écouter leurs préoccupations. "J'ai visité 17 wilayas à l'Est, l'Ouest, Centre et au Sud. Ma dernière visite c'était hier (samedi) à Tizi-Ouzou", a-t-elle indiqué, avant d'entrer dans le vif du sujet
pour répondre à ses détracteurs qui l'attaquent sur les réseaux sociaux d'avoir apporter son soutien à l ' h o m m e d'affaires Issad Rebrab. "Rien qu'hier (samedi, ndlr), 17 pages ont été créées sur Facebook qui disent que je suis parmi les gens qui soutiennent Rebrab. Je ne soutiens pas uniquement Rebrab, je soutiens tous les hommes d'affaires de toutes les wilayas de l'Est, de l'Ouest... des petites entreprises et des grandes entreprises", a-t-elle dit. S'adressant aux gens qui, selon elle, font la guerre à Rebrab et aux hommes d'affaires, elle a dit : "Vous ne me faites pas peur.
Cela fait sept (7) ans que je combats la Issaba, et je suis prête à la combattre quelque soit le prix à payer. S'ils veulent m'emprisonner, je suis prête, s'ils veulent me tuer, je suis prête, mais je dirais toujours ce qui est juste sur Rebrab et tous les hommes d'affaires". A"l'ancienne Issaba qui travaille toujours contre les hommes d'affaires honnêtes", la présidente de la CGEA a indiqué : "Je ne vais pas me taire, quel que soit le prix à payer, et je suis prête à tout". Selon elle, ce sont ceux qui ont "cassé les hommes d'affaires dans le passé, qui veulent les casser aujourd'hui". Selon Saïda Neghza, ceux qui critiquent Rebrab et tous les hommes d'affaires, sont payés par la "Issaba". Elle leur demande de sortir sur le terrain et d'aller voir les usines du patron de Cevital et toutes les usines qui sont à l'Est, à l'Ouest, au Sud et en Kabylie. La présidente de la CGEA a poursuivi en accusant la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) (ex-FCE) d'être la "Issaba". "Il y a une association qui s'appelait FCE dont on a changé uniquement le nom, mais les personnes sont les mêmes. Comment peut-on dire que la Issaba est partie' Je dis que la Issaba existe et elle est connue. Il n'est pas possible d'avoir une association qui a combattu le Président, les hommes d'affaires et tous les Algériens, et aujourd'hui elle change de nom et dire que se sont des hommes d'affaires.
Mois je dis, avant de changer le nom, il faut changer les personnes." A ceux qui la critiquent sur Facebook, Saïda Neghza les défient de sortir de l'ombre et de l'affronter face à face. "Je vous défie tous de sortir et m'affronter en face. Ne vous cachez derrière Facebook", a-t-elle dit, et d'ajouter : "Le siège du FCE existe toujours. Comment se fait-il qu'une association change de nom et reste au siège de Haddad (ex-président du FCE, actuellement en prison, ndlr). Le siège de Haddad, l'argent de Haddad, les hommes d'affaires de Haddad. Où est notre gouvernement '" La présidente de la CGEA s'est dit déterminée à continuer son combat contre la "Issaba. Je vous ai combattu quand vous étiez forts, je vous combat aujourd'hui et je vous combattrai demain", a-t-il dit, avant de conclure : "l'Algérie avant tout".
Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, Saïda Neghza, a énuméré ses sorties sur le terrain dans différentes wilayas du pays durant lesquelles elle est allée à la rencontre des entrepreneurs, visiter leurs investissements et écouter leurs préoccupations. "J'ai visité 17 wilayas à l'Est, l'Ouest, Centre et au Sud. Ma dernière visite c'était hier (samedi) à Tizi-Ouzou", a-t-elle indiqué, avant d'entrer dans le vif du sujet
pour répondre à ses détracteurs qui l'attaquent sur les réseaux sociaux d'avoir apporter son soutien à l ' h o m m e d'affaires Issad Rebrab. "Rien qu'hier (samedi, ndlr), 17 pages ont été créées sur Facebook qui disent que je suis parmi les gens qui soutiennent Rebrab. Je ne soutiens pas uniquement Rebrab, je soutiens tous les hommes d'affaires de toutes les wilayas de l'Est, de l'Ouest... des petites entreprises et des grandes entreprises", a-t-elle dit. S'adressant aux gens qui, selon elle, font la guerre à Rebrab et aux hommes d'affaires, elle a dit : "Vous ne me faites pas peur.
Cela fait sept (7) ans que je combats la Issaba, et je suis prête à la combattre quelque soit le prix à payer. S'ils veulent m'emprisonner, je suis prête, s'ils veulent me tuer, je suis prête, mais je dirais toujours ce qui est juste sur Rebrab et tous les hommes d'affaires". A"l'ancienne Issaba qui travaille toujours contre les hommes d'affaires honnêtes", la présidente de la CGEA a indiqué : "Je ne vais pas me taire, quel que soit le prix à payer, et je suis prête à tout". Selon elle, ce sont ceux qui ont "cassé les hommes d'affaires dans le passé, qui veulent les casser aujourd'hui". Selon Saïda Neghza, ceux qui critiquent Rebrab et tous les hommes d'affaires, sont payés par la "Issaba". Elle leur demande de sortir sur le terrain et d'aller voir les usines du patron de Cevital et toutes les usines qui sont à l'Est, à l'Ouest, au Sud et en Kabylie. La présidente de la CGEA a poursuivi en accusant la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) (ex-FCE) d'être la "Issaba". "Il y a une association qui s'appelait FCE dont on a changé uniquement le nom, mais les personnes sont les mêmes. Comment peut-on dire que la Issaba est partie' Je dis que la Issaba existe et elle est connue. Il n'est pas possible d'avoir une association qui a combattu le Président, les hommes d'affaires et tous les Algériens, et aujourd'hui elle change de nom et dire que se sont des hommes d'affaires.
Mois je dis, avant de changer le nom, il faut changer les personnes." A ceux qui la critiquent sur Facebook, Saïda Neghza les défient de sortir de l'ombre et de l'affronter face à face. "Je vous défie tous de sortir et m'affronter en face. Ne vous cachez derrière Facebook", a-t-elle dit, et d'ajouter : "Le siège du FCE existe toujours. Comment se fait-il qu'une association change de nom et reste au siège de Haddad (ex-président du FCE, actuellement en prison, ndlr). Le siège de Haddad, l'argent de Haddad, les hommes d'affaires de Haddad. Où est notre gouvernement '" La présidente de la CGEA s'est dit déterminée à continuer son combat contre la "Issaba. Je vous ai combattu quand vous étiez forts, je vous combat aujourd'hui et je vous combattrai demain", a-t-il dit, avant de conclure : "l'Algérie avant tout".
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Posté Le : 13/04/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com