L'hôpital Ahmed
Medeghri, l'EPSP «La Marine»
et l'association «Nass El Kheir» préparent activement la journée consacrée
à cette bonne action, «salvatrice et bienfaitrice», rappellent les organisateurs
qui interpellent, par ailleurs, le citoyen à faire preuve de civisme en donnant
la goutte de
l'espérance».
L'opération
débutera le 30 de ce mois et il es attendu l'afflux des journées précédentes
ayant drainé le grand et généreux monde des donneurs primaires, surtout que les
volontaires n'ont jamais manqué à Saïda, «d'autant que l'essence vitale humaine
a servi en de nombreuses circonstances», affirment les spécialistes du secteur.
«La route ne
cesse d'égrener les victimes souvent sauvées par cet apport indispensable», disent
les praticiens, forts de leurs expériences. Le sang prélevé est stocké dans une
banque du sang avant d'être transfusé à un malade. Outre le questionnaire
établi avec le donneur sur son état de santé, le praticien peut s'enquérir sur
les facteurs de risques, «comme les tatouages, l'usage de stupéfiants» tout en
préservant l'anonymat du généreux donateur lors de la collecte». En outre, «aucun
prélèvement de sang ne peut avoir sur une personne mineure, hormis l'urgence
thérapeutique» souligne un spécialiste du secteur qui stipule que «le donneur
doit avoir une masse minimale de 50
kg par un don total et 55 kg pour un don de plasma
ou de plaquettes».
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Posté Le : 28/03/2012
Posté par : sofiane
Ecrit par : Ali Kherbache
Source : www.lequotidien-oran.com