Saïd et Khamessa, deux exemples de réussite

Possédant un diplôme de technicienne supérieure en broderie, Laâla Khamessa, de la wilaya de Batna, a trouvé son salut dans le fonds zakat. «J'ai pris attache avec la direction des affaires religieuses de la wilaya. J'ai fourni les documents nécessaires pour le dossier. Un prêt de 29 millions de centimes m'a été accordé qui m'a permis d'acheter une brodeuse à  27 millions et démarrer mon activité».Aujourd'hui, Khamessa fait travailler sa voisine et «gagne très bien sa vie» avec les modèles d'habits traditionnels qu'elle confectionne.Saïd est également satisfait d'avoir bénéficié d'un prêt d'investissement. «Une somme de 25 millions qui m'a permis de lancer mon entreprise de verrerie. Aujourd'hui on est à  quatre dont deux stagiaires de la formation professionnelle»