Algérie

Saïd Abadou reconduit à la tête de l'ONM



Saïd Abadou reconduit à la tête de l'ONM
Le conseil national de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) a reconduit, jeudi à Alger, M. Saïd Abadou au poste de secrétaire général de l'organisation pour un deuxième mandat de cinq ans.
Le conseil national de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) a reconduit, jeudi à Alger, M. Saïd Abadou au poste de secrétaire général de l'organisation pour un deuxième mandat de cinq ans.
Dans une allocution à l'occasion de sa reconduction à la tête de l'ONM, M. Abadou (unique candidat) a affirmé qu'il poursuivra son action "pour la défense des droits des moudjahidine et ayants droit et l'édification du pays".
L'ONM, a-t-il ajouté, poursuivra son action "pour consacrer les principes et les valeurs de la glorieuse révolution de novembre et transmettre son message aux générations montantes".
L'organisation, a indiqué M. Abadou, s'engage à "accomplir pleinement son rôle au service de l'Algérie par fidélité aux valeureux martyrs et en vue d'ancrer le sens du devoir national chez les générations montantes".
Cela ne saurait se réaliser "sans la conjugaison des efforts de tous" et sans "la coopération entre les générations de Novembre et de l'indépendance pour poursuivre le processus de l'édification d'un Etat algérien novembriste fort tel que souhaité par les martyrs de la glorieuse Révolution", a-t-il dit.
La session du conseil national de l'ONM a été marquée par l'élection des membres du secrétariat national au nombre de 24 dont deux femmes et l'adoption du statut et du règlement intérieur de l'organisation.
Revoilà la loi criminalisant
le colonialisme
Dans une déclaration à la presse en marge de ces travaux, Said Abadou, a renouvelé sa confiance au nouveau Parlement en vue de faire passer "la loi criminalisant le colonialisme".
Il explique ainsi que «l'organisation soumettra de nouveau la loi criminalisant le colonialisme, au nouveau Parlement issu des législatives du 10 mai 2012 pour contrer la loi glorifiant le colonialisme, adoptée par l'Assemblée nationale française (Parlement) en 2005".
Il s'est dit attaché à "la revendication relative à la reconnaissance par la France actuelle des crimes commis par le colonialisme français contre les Algériens, à l'indemnisation et à la restitution des richesses spoliées", conformément "aux lois onusiennes et en suivant l'exemple des pays qui ont reconnu leurs crimes et indemnisé leurs anciennes colonies".
Par ailleurs, M. Abadou a appelé "à poursuivre la collecte des témoignages des moudjahidine sur la révolution nationale, en collaboration avec les services concernés" pour procéder à l'écriture de l'histoire nationale, informer les générations montantes sur les sacrifices des martyrs et préserver les acquis de la révolution".
La mission des moudjahidine "n'est pas terminée mais se poursuit toujours", a-t-il estimé, soulignant qu'ils contribueront avec force, quel que soit leur age, à l'édification nationale, en coordination avec les institutions parlementaires et administratives, "car les batailles de libération et d'édification du pays sont indissociables".
L'aboutissement de la bataille de libération n'a de sens qu'à travers la réussite de la bataille de l'édification d'une Algérie "forte aux plans économique, sécuritaire et dans tous les autres domaines, sur la base des valeurs et des principes de la révolution", a-t-il souligné.
Il a insisté sur "la nécessité de régler les problèmes des moudjahidine notamment des invalides et de veiller à la satisfaction de leurs revendications et au respect de leurs droits".
Dans une allocution à l'occasion de sa reconduction à la tête de l'ONM, M. Abadou (unique candidat) a affirmé qu'il poursuivra son action "pour la défense des droits des moudjahidine et ayants droit et l'édification du pays".
L'ONM, a-t-il ajouté, poursuivra son action "pour consacrer les principes et les valeurs de la glorieuse révolution de novembre et transmettre son message aux générations montantes".
L'organisation, a indiqué M. Abadou, s'engage à "accomplir pleinement son rôle au service de l'Algérie par fidélité aux valeureux martyrs et en vue d'ancrer le sens du devoir national chez les générations montantes".
Cela ne saurait se réaliser "sans la conjugaison des efforts de tous" et sans "la coopération entre les générations de Novembre et de l'indépendance pour poursuivre le processus de l'édification d'un Etat algérien novembriste fort tel que souhaité par les martyrs de la glorieuse Révolution", a-t-il dit.
La session du conseil national de l'ONM a été marquée par l'élection des membres du secrétariat national au nombre de 24 dont deux femmes et l'adoption du statut et du règlement intérieur de l'organisation.
Revoilà la loi criminalisant
le colonialisme
Dans une déclaration à la presse en marge de ces travaux, Said Abadou, a renouvelé sa confiance au nouveau Parlement en vue de faire passer "la loi criminalisant le colonialisme".
Il explique ainsi que «l'organisation soumettra de nouveau la loi criminalisant le colonialisme, au nouveau Parlement issu des législatives du 10 mai 2012 pour contrer la loi glorifiant le colonialisme, adoptée par l'Assemblée nationale française (Parlement) en 2005".
Il s'est dit attaché à "la revendication relative à la reconnaissance par la France actuelle des crimes commis par le colonialisme français contre les Algériens, à l'indemnisation et à la restitution des richesses spoliées", conformément "aux lois onusiennes et en suivant l'exemple des pays qui ont reconnu leurs crimes et indemnisé leurs anciennes colonies".
Par ailleurs, M. Abadou a appelé "à poursuivre la collecte des témoignages des moudjahidine sur la révolution nationale, en collaboration avec les services concernés" pour procéder à l'écriture de l'histoire nationale, informer les générations montantes sur les sacrifices des martyrs et préserver les acquis de la révolution".
La mission des moudjahidine "n'est pas terminée mais se poursuit toujours", a-t-il estimé, soulignant qu'ils contribueront avec force, quel que soit leur age, à l'édification nationale, en coordination avec les institutions parlementaires et administratives, "car les batailles de libération et d'édification du pays sont indissociables".
L'aboutissement de la bataille de libération n'a de sens qu'à travers la réussite de la bataille de l'édification d'une Algérie "forte aux plans économique, sécuritaire et dans tous les autres domaines, sur la base des valeurs et des principes de la révolution", a-t-il souligné.
Il a insisté sur "la nécessité de régler les problèmes des moudjahidine notamment des invalides et de veiller à la satisfaction de leurs revendications et au respect de leurs droits".




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