Algérie

Saga Algeria, attention les secousses



On savait le FLN en crise, le premier séisme provoqué par les redresseurs datant de 2004 avait abouti à la destitution de Benflis et à la nomination vite fait bien fait de Abdelaziz Belkhadem. Aujourd'hui, le doyen fait face au même scénario de destitution dont le SG risque de faire les frais. Voilà aussi que le RND traverse une crise étalée sur la place publique et dont la presse en a fait les choux gras. Le chef de ce parti, Ahmed Ouyahia, Premier ministre, qui arrivait à étouffer dans l''uf la contestation est soumis, cloué au pilori, contesté par ses cadres, dont certains sont membres fondateurs. Le patron du RND n'a plus la cote. Avec un score passable aux élections législatives du 10 mai dernier, le premier responsable de cette formation fait profil bas et les cadres, qui ont trouvé la faille pour l'affaiblir un peu plus, exigent son départ. Décidément, la saga algérienne provoque des secousses et c'est au tour du MSP d'être malmené. Soltani, animateur de l'Alliance verte aux élections législatives dont le score est assimilé à une défaite, a décidé de se ranger dans l'opposition, ce qui n'arrange pas l'aile Megharia qui a décidé de soutenir le président. Chez les islamistes qui avaient pour habitude de marcher main dans la main, voilà qu'ils lavent leur linge sale ' et en public.
Mais la secousse qui est la plus ressentie c'est celle qui frappe le FFS. Du jamais vu ! Depuis sa création. Le Zaim désavoué par ceux qui lui ont été proches et fidèles, le petit-fils de cheikh Mohand Ould Hocine que d'aucuns considèrent comme un mythe est-il en train d'agoniser ' Un parti dans l'opposition depuis 49 ans est en un train de glisser doucement mais sûrement vers le système qu'il honnissait il n'y a pas si longtemps. Ces compromissions avec le pouvoir ont creusé un peu plus la faille produite lors de l'annonce de la participation du FFS aux joutes électorales. Et pour enfoncer le clou, Da l'Ho s'est félicité du score et a promis des sanctions aux militants qui se seraient mal conduits durant la campagne et a exigé de ses parlementaires qu'ils soient exemplaires. De quoi remonter un peu plus la base militante. Mais un zaim reste un zaim !
On savait le FLN en crise, le premier séisme provoqué par les redresseurs datant de 2004 avait abouti à la destitution de Benflis et à la nomination vite fait bien fait de Abdelaziz Belkhadem. Aujourd'hui, le doyen fait face au même scénario de destitution dont le SG risque de faire les frais. Voilà aussi que le RND traverse une crise étalée sur la place publique et dont la presse en a fait les choux gras. Le chef de ce parti, Ahmed Ouyahia, Premier ministre, qui arrivait à étouffer dans l''uf la contestation est soumis, cloué au pilori, contesté par ses cadres, dont certains sont membres fondateurs. Le patron du RND n'a plus la cote. Avec un score passable aux élections législatives du 10 mai dernier, le premier responsable de cette formation fait profil bas et les cadres, qui ont trouvé la faille pour l'affaiblir un peu plus, exigent son départ. Décidément, la saga algérienne provoque des secousses et c'est au tour du MSP d'être malmené. Soltani, animateur de l'Alliance verte aux élections législatives dont le score est assimilé à une défaite, a décidé de se ranger dans l'opposition, ce qui n'arrange pas l'aile Megharia qui a décidé de soutenir le président. Chez les islamistes qui avaient pour habitude de marcher main dans la main, voilà qu'ils lavent leur linge sale ' et en public.
Mais la secousse qui est la plus ressentie c'est celle qui frappe le FFS. Du jamais vu ! Depuis sa création. Le Zaim désavoué par ceux qui lui ont été proches et fidèles, le petit-fils de cheikh Mohand Ould Hocine que d'aucuns considèrent comme un mythe est-il en train d'agoniser ' Un parti dans l'opposition depuis 49 ans est en un train de glisser doucement mais sûrement vers le système qu'il honnissait il n'y a pas si longtemps. Ces compromissions avec le pouvoir ont creusé un peu plus la faille produite lors de l'annonce de la participation du FFS aux joutes électorales. Et pour enfoncer le clou, Da l'Ho s'est félicité du score et a promis des sanctions aux militants qui se seraient mal conduits durant la campagne et a exigé de ses parlementaires qu'ils soient exemplaires. De quoi remonter un peu plus la base militante. Mais un zaim reste un zaim !




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