Algérie

Robert Zoellick prône un rôle de premier plan pour les USA



Le président de la Banque mondiale, l'Américain Robert Zoellick, dont le mandat prend fin en juin, a estimé samedi que les Etats-Unis devaient jouer un rôle de premier plan au sein des institutions internationales. Dans le cadre d'une interview à Reuters à Singapour, il a mis en avant le fait qu'aucun Américain ne présidait les Nations unies, l'organisation mondiale du travail, les banques régionales ou le Fonds monétaire international (FMI). «Je veux que les Etats-Unis se sentent responsables vis-à-vis du système international, donc si vous avez un bon candidat américain, je pense que ce sera une bonne chose pour les Etats-Unis et pour la banque», a-t-il déclaré.La Banque mondiale a lancé la semaine dernière le processus de sélection d'un nouveau président et devrait annoncer son choix au mois d'avril. Le poste de directeur général du FMI revient traditionnellement à un Européen, tandis que la présidence de la Banque mondiale revient aux Etats-Unis. Jusqu'à présent, deux noms reviennent régulièrement parmi les possibles successeurs de Zoellick : la secrétaire d'Etat américaine Hillay Clinton et l'ancien secrétaire au Trésor Lawrence Summers. Robert Zoellick a par ailleurs estimé que le dernier plan d'aide de 130 milliards d'euros versé à la Grèce allait seulement permettre à Athènes de gagner du temps. «Il est trop tôt pour savoir, notamment parce que cela va dépendre des mesures que la Grèce va devoir mettre en place», a-t-il dit avant d'écarter des plans d'aide similaires pour l'Espagne, l'Italie ou le Portugal. «Je pense que l'Espagne et l'Italie ont besoin de temps pour mettre en ?uvre les réformes (...) Donc je ne pense pas que les plans d'aide soient nécessaires mais je pense que tout cela reste très compliqué à mettre en ?uvre lorsque l'Europe est en récession».
Zone euro
Quelques progrès mais encore beaucoup à faire, selon Obama
Le président des Etats-Unis Barack Obama a estimé vendredi que les Européens avaient effectué «quelques progrès» dans la résolution de la crise de leur dette, mais qu'il y avait encore «beaucoup à faire» pour rétablir la stabilité financière sur le Vieux continent.
«Nous sommes d'accord sur le fait qu'il y a eu quelques progrès en ce qui concerne les accords entre l'Union européenne, le FMI et la Grèce», a déclaré M. Obama après avoir reçu la chef du gouvernement danois Helle Thorning-Schmidt.
«Le nouveau gouvernement en Italie, le nouveau gouvernement en Espagne (et) au Portugal, effectuent tous des progrès importants mais (...) il y a encore beaucoup à faire», a ajouté le président américain. Il a énoncé la nécessité «d'assurer non seulement la stabilité économique mais aussi la croissance en Europe, parce que si l'Europe croît, cela aura également des conséquences pour l'économie américaine». L'Europe «a fait beaucoup de progrès» pour réduire les risques de contagion de la crise de la dette à laquelle elle fait face, avait estimé juste avant M. Obama son secrétaire au Trésor, Timothy Geithner, sur la chaîne de télévision CNBC.
Le président de la Banque mondiale, l'Américain Robert Zoellick, dont le mandat prend fin en juin, a estimé samedi que les Etats-Unis devaient jouer un rôle de premier plan au sein des institutions internationales. Dans le cadre d'une interview à Reuters à Singapour, il a mis en avant le fait qu'aucun Américain ne présidait les Nations unies, l'organisation mondiale du travail, les banques régionales ou le Fonds monétaire international (FMI). «Je veux que les Etats-Unis se sentent responsables vis-à-vis du système international, donc si vous avez un bon candidat américain, je pense que ce sera une bonne chose pour les Etats-Unis et pour la banque», a-t-il déclaré.
La Banque mondiale a lancé la semaine dernière le processus de sélection d'un nouveau président et devrait annoncer son choix au mois d'avril. Le poste de directeur général du FMI revient traditionnellement à un Européen, tandis que la présidence de la Banque mondiale revient aux Etats-Unis. Jusqu'à présent, deux noms reviennent régulièrement parmi les possibles successeurs de Zoellick : la secrétaire d'Etat américaine Hillay Clinton et l'ancien secrétaire au Trésor Lawrence Summers. Robert Zoellick a par ailleurs estimé que le dernier plan d'aide de 130 milliards d'euros versé à la Grèce allait seulement permettre à Athènes de gagner du temps. «Il est trop tôt pour savoir, notamment parce que cela va dépendre des mesures que la Grèce va devoir mettre en place», a-t-il dit avant d'écarter des plans d'aide similaires pour l'Espagne, l'Italie ou le Portugal. «Je pense que l'Espagne et l'Italie ont besoin de temps pour mettre en ?uvre les réformes (...) Donc je ne pense pas que les plans d'aide soient nécessaires mais je pense que tout cela reste très compliqué à mettre en ?uvre lorsque l'Europe est en récession».
Zone euro
Quelques progrès mais encore beaucoup à faire, selon Obama
Le président des Etats-Unis Barack Obama a estimé vendredi que les Européens avaient effectué «quelques progrès» dans la résolution de la crise de leur dette, mais qu'il y avait encore «beaucoup à faire» pour rétablir la stabilité financière sur le Vieux continent.
«Nous sommes d'accord sur le fait qu'il y a eu quelques progrès en ce qui concerne les accords entre l'Union européenne, le FMI et la Grèce», a déclaré M. Obama après avoir reçu la chef du gouvernement danois Helle Thorning-Schmidt.
«Le nouveau gouvernement en Italie, le nouveau gouvernement en Espagne (et) au Portugal, effectuent tous des progrès importants mais (...) il y a encore beaucoup à faire», a ajouté le président américain. Il a énoncé la nécessité «d'assurer non seulement la stabilité économique mais aussi la croissance en Europe, parce que si l'Europe croît, cela aura également des conséquences pour l'économie américaine». L'Europe «a fait beaucoup de progrès» pour réduire les risques de contagion de la crise de la dette à laquelle elle fait face, avait estimé juste avant M. Obama son secrétaire au Trésor, Timothy Geithner, sur la chaîne de télévision CNBC.


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