Algérie

« Rien ne nous empêche d'aller à un conseil constitutionnel »



M. Abdelhamid Mahri, ex secrétaire général du FLN a dénoncé la marginalisation politique exercée par le régime depuis l'indépendance, en mettant à l'écart les dirigeants politiques ayant joué un rôle important dans la vie politique de la révolution.Invité, lundi, par la chaine 3 de la radio, Mahri a indiqué que le président du Front des Forces Socialistes, FFS, M. Hocine Ait Ahmed, est l'une de ces figures de la révolution qui ont été marginalisées, qu'il a qualifié de Zaim politique, capable de donner beaucoup à l'Algérie. il a, notamment, expliqué qu'il a été très ravi de travailler avec Ait Ahmed, faisant éloge à la lettre qu'il a adressé, en début de l'année, à Bouteflika, revendiquant un changement dans la vie politique, à laquelle Ait Ahmed à adhérée. Avant d'ajouter : » moi et Ait Ahmed avons appelons au dialogue entre l'ensemble des responsables et devons être un exemple à suivre, en ce qui concerne la possibilité de travailler ensemble même si nous avions des points de vue différentes et c'est ce qui représente le fonds de la revendication démocratique. Evoquant le débat qui entoure la question du conseil constitutionnel, M. Mahri a indiqué qu'il n'y a rien qui empêcherait d'y aller, si c'est nécessaire. Indiquant que cela dépendrait du consensus politique qui résulte des consultations. M Mahri Abdelhamid, ex ambassadeur de l'Algérie en France a indiqué que le temps est venu pour travailler ensemble quelles-que soient nos divergences pour donner au peuple un nouveau visage de l'Etat algérien.


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